« Page:Marc de Montifaud Sabine 1882.djvu/221 » : différence entre les versions
| État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
| - | + | Page validée | |
| Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
| Ligne 7 : | Ligne 7 : | ||
tons agatisés du passé ; il allait vers ces lumières |
tons agatisés du passé ; il allait vers ces lumières |
||
cuivrées ou rougeâtres, vers ces ombres pourprées |
cuivrées ou rougeâtres, vers ces ombres pourprées |
||
qui jaillissaient des figures de |
qui jaillissaient des figures de reîtres, où le rayon |
||
de la lampe allumait dans chaque regard une flamme |
de la lampe allumait dans chaque regard une flamme |
||
de convoitise, pendant que, des cuirasses bombées, |
de convoitise, pendant que, des cuirasses bombées, |
||
| Ligne 23 : | Ligne 23 : | ||
illimitée, en ce qu’ils répondent tous à ce plus ou à |
illimitée, en ce qu’ils répondent tous à ce plus ou à |
||
ce moins d’aspiration que nous logeons dans un coin |
ce moins d’aspiration que nous logeons dans un coin |
||
de nous- |
de nous-même. Le peintre qui sort d’auprès d’eux peut |
||
défier les autres hommes ses rivaux ou ses envieux. |
défier les autres hommes ses rivaux ou ses envieux. |
||
Ses doigts ont touché à ce divin triturement de la |
Ses doigts ont touché à ce divin triturement de la |
||