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Quand parfois en juillet on ouvre les volets,
Quand parfois en juillet on ouvre les volets,
L’air, chargé des parfums que les brises entraînent,
L’air, chargé des parfums que les brises entraînent,
S’élance, Ëros joyeux, dans les chambres des reines,
S’élance, Éros joyeux, dans les chambres des reines,
Et, comme on éveillait la Belle au bois dormant,
Et, comme on éveillait la Belle au bois dormant,
Met des baisers d’azur sur ce délaissement…
Met des baisers d’azur sur ce délaissement…