« Page:Œuvres complètes de Maximilien de Robespierre, tome 1.djvu/119 » : différence entre les versions

Hervé-Marc (discussion | contributions)
→‎Page non corrigée : Page créée avec « <nowiki /> Un événement intéressant avoit réveillé sa Muse. Ce prince étonnant qui avoit fixé l’attention de l’Europe, lorsqu’il n’étoit encore que l’… »
 
 
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page non corrigée
+
Page corrigée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 21 : Ligne 21 :
fois peut être, la poésie, dont la plus ordinaire fonction
fois peut être, la poésie, dont la plus ordinaire fonction
paroit être de flatter les princes, emploiée par un souverain
paroit être de flatter les princes, emploiée par un souverain
à honorer le mérite d’un particulier : Pour produire ce phénomène,
à honorer le mérite d’un particulier : Pour produire ce phénomène,
il falloit en même temps, un monarque, qui, au
il falloit en même temps, un monarque, qui, au
talent de vaincre et de régner, sçut joindre encore le talent
talent de vaincre et de régner, sçut joindre encore le talent
Ligne 29 : Ligne 29 :


Parlerai-je, Messieurs, des charmantes productions dont
Parlerai-je, Messieurs, des charmantes productions dont
noire poête n’a pas fait présent au public ; mais dont vous
notre poete n’a pas fait présent au public ; mais dont vous
fûtes les confidens ? Qui n’a pas désiré, par exemple, de lire
fûtes les confidens ? Qui n’a pas désiré, par exemple, de lire
l’Ouvroir ? Cette pièce, qui fit une si vive sensation sur tous
l’Ouvroir ? Cette pièce, qui fit une si vive sensation sur tous