« Page:Fiel - Le roman de Colette, 1945.djvu/34 » : différence entre les versions
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leurs larmes en s’embrassant tendrement. |
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{{Mme|Tiguel}} entra à ce moment, et elle dit sévèrement : |
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— Marcelle, ne donne pas une nouvelle émotion à Colette, |
— Marcelle, ne donne pas une nouvelle émotion à Colette, |
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— Maman… ne la gronde pas ! c’est une sainte ! |
— Maman… ne la gronde pas ! c’est une sainte ! |
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{{Mme}} |
{{Mme|Tiguel}} s’immobilisa, surprise. Elle regarda Marcelle qui lui |
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dit simplement : |
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que j’ai commis. |
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{{Mme|Tiguel}} ne fut pas peu étonnée de ce que sa fille lui apprit |
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après le départ de Marcelle. |
après le départ de Marcelle. |
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C’est ainsi que leurs fiançailles se conclurent. |
C’est ainsi que leurs fiançailles se conclurent. |
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{{c|{{t|IMP. A. GOMÈS, 96, BOUL. JEAN-BRUNHES — TOULOUSE — N°3|80}}}} |