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libations reconnaissantes à tous les devanciers où, il a puisé sa sagesse <ref>{{sc|Goethe}}, ''{{Lang|de|Gespräche mit Eckermann}}'', 12 mai 1825 ; 16 décembre 1828. {{Lang|de|Geschichte der Farbenlehre}}. Ed. du Centenaire, 1905, t. XL, p. 143 ; ''{{Lang|Maximen und Reflexionen}}. Ibid.'', t. XXXIX, p. 110.</ref> :
libations reconnaissantes à tous les devanciers où, il a puisé sa sagesse <ref>{{sc|Goethe}}, ''{{Lang|de|Gespräche mit Eckermann}}'', 12 mai 1825 ; 16 décembre 1828. {{Lang|de|Geschichte der Farbenlehre}}. Ed. du Centenaire, 1905, t. XL, p. 143 ; ''{{Lang|de|Maximen und Reflexionen}}. Ibid.'', t. XXXIX, p. 110.</ref> :


''{{taille|Ce qui est original en nous, ajoutait Cœthe, se conserve et reprend vigueur surtout si nous ne perdons pas de vue nos grands ancêtres. Ce n’est pas seulement ce qui est né avec nous, mais ce que nous savons acquérir, qui nous appartient et fait partie intégrante de notre substance|90}}''<ref>''{{Lang|de|Maximen}}. Ibid.'', t. XXXVIII. p. 278.</ref>.
''{{taille|Ce qui est original en nous, ajoutait Cœthe, se conserve et reprend vigueur surtout si nous ne perdons pas de vue nos grands ancêtres. Ce n’est pas seulement ce qui est né avec nous, mais ce que nous savons acquérir, qui nous appartient et fait partie intégrante de notre substance|90}}''<ref>''{{Lang|de|Maximen}}. Ibid.'', t. XXXVIII. p. 278.</ref>.