Wikisource:Prix Montyon
(Redirigé depuis Prix Montyon)
Voir Prix Montyon
Lauréats du prix littéraire modifier
- 1832 : Ferdinand Denis, Le Brahme voyageur ou la sagesse populaire de toutes les Nations
- 1835 : Alexis de Tocqueville, De la démocratie en Amérique
- 1847 : Louis-Marie de Cormenin, Entretiens de village
- 1851 : Albert Lecoy de la Marche, Les Sceaux
- 1865 : Numa Denis Fustel de Coulanges, La Cité antique
- 1869 : P. J. Stahl, Morale familière[stahl]
- 1873 : Zénaïde Fleuriot, Aigles et Colombes[1].
- 1875 : P. J. Stahl, Histoire d’un âne et de deux jeunes filles[stahl]
- 1876 : P. J. Stahl, Les Patins d'argent[stahl]
- 1878 : Henri Gréville, Dosia
- 1879 : P. J. Stahl / Marko Vovtchok, Maroussia [stahl]
- 1880 : Louis Fréchette, Les Fleurs boréales
- 1882 : Albert Duruy, L'Instruction publique et la Révolution
- 1882 : Raoul Frary, Le Péril national
- 1882 : Anatole France, Le Crime de Sylvestre Bonnard
- 1882 : Louis-Marie La Fontaine, pseudonyme d'Henri Thomas, sociétaire de la Comédie-Française, Petites Misères
- 1882 : Auguste Dorchain, La Jeunesse pensive
- 1883 : Auguste Vitu, La Maison de Molière
- 1883 : Daniel Lesueur, pseudonyme de Jeanne Loiseau, pour son premier recueil de poésies Fleurs d'avril (publié sous le nom de Jeanne Loiseau, édit. Alphonse Lemerre) et pour son premier roman Le Mariage de Gabrielle (édit. Calmann-Levy)
- 1883 : Gustave Larroumet, Marivaux, sa vie et ses œuvres
- 1887 : Jane Dieulafoy, La Perse, la Chaldée et la Susiane
- 1890 : Jean de La Brète, Mon oncle et mon curé [labrète]
- 1895 : Jean de La Brète, Un vaincu [labrète]
- 1896 : Elphège Vacandard, Vie de Saint Bernard, abbé de Clairvaux [2]
- 1899 : André Lichtenberger, Mon Petit Trott[lichtenberger]
- 1899 : Pierre de Coulevain, pseudonyme de Jeanne Philomène Laperche, Noblesse américaine
- 1900 : Fernand-Lafargue, Les Ouailles du Curé Fargeas
- 1901 : Pierre de Coulevain, pseudonyme de Jeanne Philomène Laperche, Eve victorieuse
- 1901 : André Lichtenberger, La mort de Corinthe[lichtenberger]
- 1903 : Mathilde Alanic, Ma cousine Nicole
- 1903 : Claude Ferval, L’Autre amour
- 1904 : Louise Compain, L’un vers l’autre
- 1908 : André Vernières, pseudonyme de Lucien de Vissec, Camille Frison, ouvrière de la couture
- 1909 : André Lichtenberger, Trois familiers du Grand Condé[lichtenberger]
- 1912 : Paul de Garros, La Plus Heureuse
- 1917 : J. Delorme Jules-Simon, petite-fille de l'académicien Jules Simon, Âme de guerre, âme d'amour
- 1920 : Henry de Montherlant, La Relève du matin
- 1922 : Georges Gaudy, L'Agonie du Mont Renaud
- 1925 : Marguerite Teilhard-Chambon, La Loi du faible
- 1926 : Paul de Garros et Henri de Montfort, Douloureuses fiançailles
- 1929 : Albert Gervais (médecin), Une fille de H'an
- 1929 : Mathilde Alanic, Le Mariage de Hoche
- 1934 : Henri Ardel, Cœur de sceptique
- 1934 : Roger Labric, On se bat dans l'air
- 1935 : Jacques Yvel, Cadet Roussel
- 1936 : Bernard Antoine, Histoire de la survivance acadienne
- Catégorie:1936 : Jean Gaument (posthume) et Camille Cé, Plus loin que l'Amour. Vincent Vaillant
- 1937 : Jean Drouillet, Histoire de Saint-Benin-d'Azy
- 1938 : Jean Boyer, Le "romantisme" de Beethoven
- 1939 : Paul Voivenel, Avec la 67e Division de réserve
- 1943 : Augustin le Maresquier, Histoire de Tourlaville
- 1946 : Marie-Paule Salonne, Fends la bise[3]
- 1947 : Germaine Mornand, La Vie et la mort de Daisy-Georges Martin[4]
- 1948 : Armand Bellenger, La Providence d’Alençon
- 1949 : André Giroux, Au-delà des visages
- 1949 : Myonne, Menou et François[5]
- 1950 : Roger Bulliard, Inuk au dos de la terre
- 1950 : Berthe Bernage, Le Roman d’Élisabeth[6]
stahl. Site officiel de l'Académie française