Imprimerie l’Union (p. 52).


RAPPORTS MONDAINS


Si douce et bonne que soit la vie au foyer, nous ne pouvons cependant pas nous y confiner dans une réclusion absolue. Les nécessités de la vie, le devoir et la charité nous obligent à être en contact avec les étrangers. Nous sommes faits pour vivre en société ; elle est la famille agrandie !

Il nous faudra faire et recevoir des visites, écrire des lettres, etc ; nous renoncer souvent, payer de nos petits sacrifices le plaisir des autres : être polis, toujours !

Si la politesse est de rigueur partout, il est certain que nous devons nous observer davantage dans nos rapports avec les gens du dehors, qui ne nous traiteront pas toujours avec la même indulgence que les nôtres.