Traduction par Charles Héguin de Guerle.
Poésies de CatullePanckoucke (p. 41-43).

XXVI.

À FURIUS.


Furius, ma maison des champs est à l’abri du souffle de l’Auster et du Zéphyr ; elle ne redoute ni le cruel Borée, ni le vent d’est ; mais elle est hypothéquée pour quinze mille deux cents sesterces. Ô l’horrible, le funeste vent !