Traduction par Charles Héguin de Guerle.
Poésies de CatullePanckoucke (p. 43).

XXVII.

À SON ÉCHANSON.


Esclave qui nous verses du vieux Falerne, remplis nos coupes d’un vin plus amer, comme l’ordonnent les statuts de Posthumia, la législatrice de nos orgies, plus ivre qu’une bacchante en délire. Et vous, eaux insipides, fléaux du vin, hors d’ici ; allez abreuver nos Catons. Ici Bacchus est sans mélange.