Poésies badines et facétieuses/Vanités humaines

VANITÉS HUMAINES.


En un marché, passaient avec maint sbire,
Deux Florentins que pour crime on brûla ;
Crime galant… tel que l’aurez pu lire.
Du beau Catulle ou de Caligula.
« Peuple assemblé, — disait l’un, — me voilà ;
« Je suis l’agent, que tu ne t’y méprennes… »
— Hé ! — dit le prêtre, ami, laissons cela ;
Ne songez plus aux vanités humaines !!! »