sont percées dans les étages inférieurs des constructions, et suivent la déclivité du terrain, de manière à raser les alentours.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/6/60/Chateau.Bonaguil.png/440px-Chateau.Bonaguil.png)
Pour les couronnements des tours, la méthode adoptée au XIVe siècle est encore suivie. La transition est donc évidente ici, et le problème que les architectes militaires cherchaient à résoudre dans la construction des places fortes vers le milieu du XVe siècle pourrait être résumé par cette formule : « Battre les dehors au loin, défendre les approches par un tir rasant de bouches à feu, et se garantir contre l’escalade par un commandement très-élevé, couronné suivant l’ancien système pour la défense rapprochée.[1] » Le donjon, couvert en terrasse et fortement voûté, était fait aussi pour recevoir du canon à son sommet, ce qui était d’ailleurs justifié par les abords qui, d’un côté, commandent le château.
Sous Louis XI, la ligue du Bien Public marqua le dernier effort de
- ↑ Voy. Architecture Militaire.