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À monsieur de Mout82, douze mil livres.

À monsieur d’Estisac83, dix mil livres.

À monsieur de Pouille, huict mil livres.

À monsieur de Rohan, trente-six mil livres.

À monsieur de Bellangreuille, cinquante mil livres.

À monsieur de Cangey, huict mil livres.

À monsieur de Sauveterre84, huict mil livres.

À monsieur le comte d’Auvergne, quarante mil livres.

À monsieur de Pommereuze, dix mil livres.

À monsieur de Moncanisy, dix-huict mil livres.

À monsieur de Matignon, dix mil livres.

À monsieur de Vaubecourt, douze mil livres.

À monsieur de la Pardis, douze mil livres.

À monsieur le marquis de Marrigny, dix mil livres.

À monsieur de Fourneaux, douze mil livres.

À monsieur de Baigneux, dix mil livres.



ennemis du maréchal d’Ancre et d’avoir failli être tué par ses bravi. V. Collect. Petitot, t. 21 bis, p. 236.

82. Le voyageur de Mout, qui découvrit pour nous, avec Champlain, les côtes de l’Acadie. V. sur lui t. 3, p. 165, note.

83. Le marquis d’Estissac, dont il est parlé dans les Mémoires de Mme de Motteville à propos de sa prise de possession de La Rochelle, ou il demeura fidèle au roi. C’est aussi lui qui chassa de Marennes les gens du comte de Dognon. V. Mém. de Monglat, Collect. Petitot, 2e série, t. 50, p. 395.

84. Il fut quelque temps l’un des premiers valets de chambre de la garde-robe ; mais, étant accusé de vouloir mettre de la mésintelligence entre le roi et sa mère, il fut contraint à se retirer.