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TABLE
Pages.
Préface.
Introduction. § 1er. Cimarosa.
- § II. Différence de la musique allemande et de la musique d’Italie.
- Anecdote sur Torquato Tasso, en 1816. — La mémoire paralyse l’imagination. — Conditions physique du plaisir musical ; grandeur des salles ; position commode du corps : air pur et souvent renouvelé. — Le demi-jour nécessaire à l’effet de la musique.
- § III. Histoire de l’interrègne après Cimarosa et avant Rossini, de 1800 à 1812.
- Coup d’œil sur les Œuvres et le talent de Mayer. — Duetti d’Ariodant et de la Rosa Bianca, les chefs-d’œuvre de Mayer. — M. Paër et ses principaux ouvrages.
- § IV. Mozart en Italie.
- Un prince fait un pari sur Mozart, et le fait connaître en Italie. — Un mot sur le style de Mozart. — Différence des styles de Mozart, Cimarosa et Rossini.
Chap. Ier. Ses premières années.
- La civilisation prend naissance sur les rives de la Méditerranée ; encore aujourd’hui on y aime mieux aimer et jouir que combattre ; de là les malheurs de l’Italie. — La France et l’Angleterre par rapport aux Beaux-Arts. — Les parents de Rossini sont musiciens.
Chap. II. Tancrède, premier opera seria de Rossini.
- Le premier chœur de Tancrède plus pastoral que guerrier. — La Malanote refuse un air que Rossini avait composé pour l’entrée de Tancrède ; il trouve l’air di tanli palpiti. — L’harmonie joue en musique le rôle de la description dans les romans de Walter Scott. — Duetto guerrier : Ah ! se de’ mali miei.
Chap. III. L’Italiana in Algeri.
- Manière de se servir du libretto d’un opéra, à la première représentation. — Caractères de la musique de l’Italiana. — Singulière bonté du public de Louvois.