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rompt avec moi. — Résumé de nos rapports par la suite. — Maurice entre au collège. — Son chagrin et le mien. — Tristesse et dureté du régime des lycées. — Une exécution à Henri IV. — La tendresse ne raisonne pas. — Maurice fait sa première communion 
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II
Ce que gagnai à devenir artiste. — La mendicité organisée. — Les filous de Paris. — La mendicité des emplois, celle de la gloire. — Les lettres anonymes et celles qui devraient l’être. — Les visites. — Les Anglais, les curieux, les flâneurs, les donneurs de conseils. — Le boulet. — Réflexions sur l’aumône, sur l’emploi des biens. — Le devoir religieux et le devoir social en opposition flagrante. — Les problèmes de l’avenir et la loi du temps. — L’héritage matériel et intellectuel. — Les devoirs de la famille, de la justice, de la probité s’opposant à l’immolation évangélique dans la société actuelle. — Contradiction inévitable avec soi-même. — Ce que j’ai cru devoir conclure pour ma gouverne particulière. — Doute et douleur. — Réflexions sur la destinée humaine et sur l’action de la Providence. — Lélia. — La critique. — Les chagrins qui passent, celui qui reste. — Le mal général. — Balzac. — Départ pour l’Italie 
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III
M. Beyle (Stendhal). — La cathédrale d’Avignon. — Passage à Gênes, Pise et Florence. — Arrivée à Venise par l’Apennin, Bologne et Ferrare. — Alfred de Musset, Géraldy, Léopold Robert à Venise. — Travail et solitude à Venise. — Détresse financière. — Beau trait d’un officier autrichien. — Catulle père. — Vexations. — Polichinelle. — Rencontre singulière. — Départ pour la France. — Le Carions. — Les brigands. — Antonino. — Rencontre de trois Anglais. — Les théâtres à Venise. — La Pasta, Mercadante, Zacometto. — Les mœurs de l’égalité à Venise. — Arrivée à Paris. — Retour à Nohant. — Julie. — Mes amis du Berry. — Ceux de la mansarde. — Prosper Bressant. — Le Prince 
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IV
Madame Dorval 
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