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« Qu’avez-vous donc, dit-il, que vous
[ne mangez point ? »
Boileau.



Je venais d’écrire, dans l’Écho de Paris, sur ces trois maîtres illustres, les pages qui précèdent, et j’avais donné à mes portraits le titre même de ce livre : « La Farce de la Sorbonne » sans me douter que, pour mon régal, on allait m’aider à la composer. J’avouerai même qu’en peignant mes personnages, je n’avais pas senti toute leur drôlerie. Heureusement des défenseurs aveugles de ces messieurs sont venus, avec une furieuse énergie, me la souligner ; et de grand cœur je les remercie.

MM. Basch, Aulard et Seignobos, désormais inséparables pour tous ceux qui