termes de musique : mineurs, ſemi-brefs, crochus (croches) quinte, etc. » (Burgaud des Marets)
Page 103, l. 3 : Pantoufle. Ms. : Canettes.
L. 10 : Il les faiſoit. « Faut-il lire ils les faiſoient ? » dit Burgaud. C’est l’avis de M. A. de Montaiglon qui, reproduisant le manuscrit où le texte est le même que dans les imprimés, met : « Il [z] les faiſoi[en]t. » Mais cette correction est inutile : le verbe se rapporte, non aux frères Fredons, mais à leur fondateur Benius. Le sujet est, il est vrai, un peu éloigné ; mais, en mettant le verbe au pluriel, on rend le passage incompréhensible.
L. 27 : Quant c’eſt qu’elles. Ainsi 1564 et 1565. Ms. : Quand elles.
L. 29 : Chareté. Ms. : Charité.
L. 29 : De pechez grande multitude. Allusion aux paroles de saint Pierre. (Epitres, I, IV, 8)
Page 104, l. 15 : Lors que ſeroit. Ms. : Lors tenu ſeroit que.
L. 23 : Diuiſe Pontiale. Voyez ci-dessus, p. 115, note sur la l. 15 de la p. 72.*
L. 26 : Eſmoutiſſoient. Ms. : Eſmutiſſoient.
L. 29 : Copieuſement. Ms. : Piteuſement.
Page 105, l. 12 : Ouide en ſes Faſtes. Voyez liv. V, v. 673, le passage qui commence ainsi :
Est aqua Mercurii portæ vicina Capenæ.
L. 13 : Comme. Il y a ici un mot passé que le manuscrit remplace par un blanc.
L. 21 : Qu’ils ne chantoient que des aureilles. Mme de Sévigné s’est rappelé cette locution (Noel, 1675) « : La bonne princeſſe alla à ſon prêche ; je les entendois tous qui chantoient des oreilles, car je n’ai jamais entendu des tons comme ceux-là. » On lit dans l’édition des Grands écrivains à cette occasion : « Il est dit dans une note de Perrin que chanter des oreilles est une expression de Panurge. Nous ne l’avons pas trouvée dans Rabelais. »