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62 COMMENTAIRH.

dans les trois premières éditions : véritable : agentes & confentlentes, cejl a dire^ qui na confciencé na rien. lai parle comme fain£i Lehan de Lapocalypfe. Puis vient : qtiod vidimus teftamur « nous témoignons ce que nous auons vu. i » Ce texte est tiré du verset i’"" de l’épître i de saint Jean.

Page 218, 1. 5 : Mau de terre vous vire. 1537 et Dolet donnent la forme gasconne : bous bire.

L. 6 : Le miulubec vous troujfe. Voyez ci-dessus p. 65 la note sur la p. 7, 1. 9.

h. S : Le mau fin feu de ricqueracque, ’^^’Jf’- njenu que poil de vache. En prononçant vactjue^ à la picarde, on trouve ici un quatrain grossièrement rimé.

L. II : En cefte prefente chronicque. A la suite de ce prologue, on trouve dans deux, éditions in-i6, P. de Tours (sans date) et 1553 sans nom de lieu, la pièce suivante : « Dixain nouuellement compolé à la louange du ioyeux efprit de l’auteur.

Cinq cens dixains, mille virlais. Et en Rime mille viradcs, Des plus gentcs, & des plus fades De Marot, ou de Saingelais, Payez content fans nulz délais, En prefence des Oreades, Des Hymnides, & des Dryades, Ne fuffiroient, ny Pontalais A pleines balles de Ballades Au dode, f.’ gentil Rabelais, n

Il faut lire, au septième vers, Lymnides au lieu de : Hymnides.

Page 219, 1. 9 : Non fcullement… éternel^. Premièveii éditions : Non feulement des Grec^. des Arabes. ÇSf Et/ifiicques^ mais auffc les auteurs de la faincle efcripture. comme monfeigneur fain£l Luc mefmement. & fainil Matthieu.

Page 220, 1. 8 ; Deb’uorihus à gauche, u Par allu- fion au licut ik. nos diniittimus debitoiibus nortris.