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Page 212 « — Non, tu ne m’aimes pas, s’écria-t-il avec une vivacité agressive. Je l’ai vu tout de suite !… J’espérais te conquérir, mais, de jour en jour, au contraire, je te sens plus froide plus lointaine !… »

Page 231 « … Voilà un jeune mari qui paraît vouloir être maitre chez lui !… »

Page 267 « … Ah ! Samela, murmura-t-elle à voix basse, que je me sens loin de tous ces gens-là… »

Page 286 « … Les yeux des deux femmes se rencontrèrent — ardents d’interrogation et de douleur, ceux de Charlette… inquiets, peu à peu troublés, ceux de Belle… »

Page 298 « … Ah ! Samela, si je mourais, j’oublierais tout !… »

Page 300 « … Avec la vie et ses forces recouvrées, une ardeur s’infusait en ses veines, une soif de revanche de tout ce qu’elle avait souffert et subi… »

Page 317 « — Écoute, Samela, ne crains plus rien pour moi… Désormais, j’aurai mon enfant à bercer… »


ÉMILE COLIN, IMPRIMERIE DE LAGNY (S.-&-M.)