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CHANSONS POSTHUMES.
TIMBRES.
nos.
Adieu. Musique d’Abadie
(Voyez aussi, No 199.)
Agéline (air d’)
Pour la Dernière Fée
Ah ! ma mère, est-c’que j’sais ça ?
Pour Je suis ménétrier
Ainsi jadis un grand prophète
Pour les Chansonnettes
— les Gages
— mes Craintes
— mon Carnaval
— Plus d’oiseaux
Amazones (air des)
Pour De Profundis
— le Postillon
Attendez-moi sous l’orme
Pour l’Argent
Avec les Jeux dans le village
Pour Une Idée
— la Guerre
Ballet des Pierrots (air du)
Pour la Leçon d’histoire
— le Matelot breton
— les Ailes
— la Fille du Diable
Ce magistrat irréprochable
Pour Avis
— les Voyages
— Enfer et Diable
C’est à mon maître en l’art de plaire
Pour l’Ascension
— la Rivière
— l’Avenir des beaux esprits
Charmant ruisseau, le gazon de tes rives
Cheval arabe (le). Musique d’Abadie
Dans les prisons de Nantes
Dis-moi donc, mon petit Hippolyte
Pour Petit Bonhomme
Do do, l’enfant do
Pour l’Or
Dois-je encore chanter tes charmes
Douce amitié, sagesse aimable
Elle aime à rire, elle aime à boire
Pour la Prisonnière
Entrevue (air de l’)
Pour Un Ange
Faut d’la vertu, pas trop n’en faut
Pour les Défauts
— les Tambours
Il est certain qu’un jour de l’autre mois
J’ai vu partout dans mes voyages
Pour Dix-neuf août
Je l’ai planté, je l’ai vu naître
Pour Mon Jardin
— La Pâquerette et l’Étoile
Je regardais Madelinette
Pour l’Olympe ressuscité
J’étais bon chasseur autrefois
Pour mon Ombre
Jeune Iris dans un bocage (la)
Jeunes beautés, vous à qui la nature
Lantara (air de)
Pour les Bois
Légère (air de la)
Pour Au galop
