Pensées manuscrites, où ils ont été insérés par l’auteur lui-même, depuis la page 466 jusqu’à la page 469.
Page 169, ligne 2. — Ce fragment se trouve dans le tome Ier des Pensées manuscrites, où il a été inséré par l’auteur lui-même, à la page 53.
Page 169, ligne 12. — Ce fragment se trouve dans le tome Ier des Pensées manuscrites, où il a été inséré par un copiste, à la page 192.
Page 169, lignes 15 et 16. — La France que Charles VII laissa en mourant, le 22 juillet 1461, était, en effet, bien différente de celle que Louis XI transmit à Charles VIII, le 30 août 1483. Montesquieu a développé cette réflexion dans un travail sur l’ensemble de l’histoire de France. Ce travail est imprimé dans le tome Ier des Pensées et Fragments inédits de l’auteur[1].
Page 169, ligne 17. — Ce fragment se trouve dans le tome Ier des Pensées manuscrites, où il a été inséré par l’auteur lui-même, à la page 287.
Page 171, ligne 19. — Ce fragment se trouve dans le tome 1 des Pensées manuscrites, où il a été inséré par un copiste, à la page 322. Page 171, ligne 26. et à la guerre de la Succession d’Espagne, de l’autre. Montesquieu va faire allusion à la guerre de Trente ans, d’une part, Page 172, ligne 1. Montesquieu rappelle ici les défaites des Français à Hochstædt (13 août 1704), à Turin (7 septembre 1706), à Ramillies (23 mai 1706), à Barcelone (12 mai 1706), à Oudenarde (11 juillet 1708) et à Lille (8 décembre 1708). Page 172, ligne 4. La guerre du Péloponèse dura de 431 à 404 avant J.-C. Page 172, ligne 17. Ce fragment se trouve dans le tome 1 des Pensées manuscrites, où il a été inséré par l’auteur lui-même, au verso du folio 438. Page 172, ligne 21. — Ce fragment et le suivant se trouvent dans le tome 1 des Pensées manuscrites, où ils ont été insérés par l’auteur lui-même, à la page 480. Page 173, ligne 4. Les trois fragments qui suivent se trouvent dans le tome II des Pensées manuscrites, où ils ont été insérés par un copiste, au recto et au verso du folio 219. - Page 173, ligne 8. · Porsenna, roi de Clusium (en Étrurie), fit, en 508, la guerre aux Ro- mains, pour rétablir Tarquin le Superbe sur le trône ; mais cette guerre aboutit à un traité dont Tarquin ne tira aucun profit.
Page 173, lignes 20 et 21. — Les deux fragments qui suivent sont extraits d’une sorte d’errata des Considérations, errata qui a été inséré par un copiste dans le tome II des Pensées manuscrites. Il y occupe presque intégralement les folios 235 à 238. Le titre en est ainsi conçu : Articles retranchés du Livre de la « Considération sur la Grandeur des Romains », dans la nouvelle Édition que j’en donnerai, ou qui n’ont pu entrer dans les Augmentations. — Ce qui est imprimé est marqué par une croix.
- ↑ Pensées et Fragments inédits de Montesquieu, publiés par le baron de Montesquieu (Bordeaux, G. Gounouilhou, 1899), tome Ier, page 338.
