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VANNIQUES OU ARMÉNIAQUES

Publiée et traduite par M. Sayce d’après un estampage de Rassam[1]. Copiée aussi par moi.

XVI.

Lieu inconnu. Six lignes.

Publiée et traduite par M. Sayce d’après un estampage de Rassam.

XVII.

À Kochbanz[2], petit village dans une gorge du mont Varak à une dizaine de kilomètres de Van ; église de Saint-Grégoire (Sourp Krikor ou Kirikor) ; sur une pierre grisâtre, placée au-dessus de la porte d’une chapelle, à droite de la nef de l’église. Cinq lignes, en double, parfaitement bien conservées.

Copiée et publiée par Schulz (no xxx). Publiée et traduite par Mordtmann (no xx). Voir p. 269 notre excursion à Sourp Krikor.

XVIII.

Même village et même église ; sur une pierre que l’on a encastrée au-dessus, de la porte de la chapelle de Sourp Garabed (Saint Jean-Baptiste) à gauche en entrant dans l’église. Cinq lignes mutilées au commencement et à la fin.

Copiée et publiée par Schulz (no xxxi). Publiée et Mordtmann (no xxx).

XIX.

Même village et même église ; sur un bloc presque cubique, servant de pierre d’autel. Quatre des faces de ce bloc sont revêtues de caractères cunéiformes. En tout, dix-neuf lignes assez bien conservées, sauf celles qui correspondent à la face supérieure.

Copiée et publiée par Schulz qui a numéroté chaque côté de la pierre séparément (xxxiii, xxxiv, xxxv et xxxii) : mise en ordre par M. Sayce et traduite par Mordtmann[3] (no xxii) ; publiée de nouveau d’après un estampage que Rassam lui a procuré.


  1. D’après M. Sayce, Rassam aurait estampé cette inscription chez un certain Attam-Aga. Cet Attam-Aga était le père de Simon Ferdjoulian, ou peut-être même son grand-père. Ce sont encore les mêmes inscriptions que Deyrolle a essayé d’acheter à Fardjoul-Oglou Adhamara (lisez Adham-Agha = Attam-Aga) voy. T. D. M. 1876, i, p. 396.
  2. Deyrolle (T. D. M. 1876, i, p. 388) appelle ce village Kopans-Kaleh. Nous ne l’avons jamais entendu désigner par un autre nom que celui du couvent, Sourp Krikor.
  3. Les 12 premières lignes commencent sur la même face et se continuent sur deux autres faces. C’est l’inscription proprement dite. Le quatrième côté contient les autres lignes formant la conclusion imprécatoire dirigée contre ceux qui détruiraient l’inscription.