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— 503-506. — Les effets moraux de la foi en partie favorables, en partie défavorables — 507-509. — Importance de la forme en morale et en religion — 509-514. — Prétention de la religion à posséder la vérité — 514-517. — Impossibilité d’une religion rationnelle sans poésie — 517-521. — Le pasteur Lang conteste cette doctrine — 522-525.


Caractère des attaques ordinaires contre la religion — 526-528. — Prédominance du principe de l’entendement — 528 et 529. — Plans d’une nouvelle religion. Nouvelle hiérarchie de Comte — 529-531. — Les connaissances relatives à la science de la nature ne doivent pas être traitées ecclésiastiquement, mais seulement d’une façon purement laïque — 532 et 533. — Ce n’est pas l’instruction morale qui fait la religion, c’est l’émotion tragique communiquée à l’âme — 533 et 534. — Notre culte de l’Humanité n’a pas besoin des formes religieuses — 534 et 535. — Ce que le matérialisme ferait de plus logique serait de rejeter entièrement la religion — 535. — Examen de la connexion entre le matérialisme moral et le matérialisme théorique — 535-540. — Développement du matérialisme chez Ueberweg — 540 et 541. — Son point de vue antérieur — 541. — Nature matérialiste de sa psychologie — 542-544. — Sa téléologie — 544. — Sa conscience de la faiblesse de cette téléologie — 545 et 546. — L’existence de Dieu — 546. — Il passe au matérialisme ; preuves que l’on en trouve dans ses lettres à Czolbe et à l’auteur — 547-550. — Doutes sur l’athéisme que Czolbe prête Ueberweg — 550 et 551. — Conséquences morales de sa conception de l’univers. Ses rapports avec le christianisme — 551-558. — David-Frédéric Strauss. Sa dernière et définitive conception de l’univers est essentiellement matérialiste — 558-560. — Son matérialisme est correct et logique — 560-562. — Strauss est superficiel quand il discute les questions sociales et politiques. Ses tendances conservatrices — 563 et 564. — Il rejette les caractères spécifiques de la morale chrétienne. Optimisme. Blâme du culte des communautés libres — 564 et 565. — Insouciance relative au peuple et à ses besoins — 566. — Les classes riches penchent vers le matérialisme. Les socialistes. Notre civilisation est menacée d’être renversée — 567-569.


Le matérialisme comme philosophie de la réalité. Essence de la réalité — 570-572. — Les fonctions de la synthèse dans la spéculation et dans la religion. Origine de l’optimisme et du pessimisme — 572 et 573. — Valeur et importance de la réalité — 574-576. Ses limites ; le pas qui mène à l’idéal — 576 et 577. — La réalité a besoin d’être complétée par un monde idéal. Poésies philosophiques de Schiller. L’avenir et l’essence intime de la religion — 577-584. — La philosophie de la religion, particulièrement Fichte. Groupement des hommes d’après la forme de leur vie interne — 585-588. — Destinées de la religion aux époques critiques. Possibilité de