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Landry, Principes de morale rationnelle, 1906.djvu/286
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4. Deux autres erreurs. Conception qui limite le domaine de la morale. — Conception qui fait de la morale une collection de préceptes sans lien
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CHAPITRE III. —
Le devoir.
1. Possibilité de définir dès maintenant le devoir. — Le devoir correspond à l’action réelle de la raison en nous. Caractères spéciaux de cette action et du devoir. — Discussion des théories qui nient ou déclarent incompréhensible l’action de la raison. — Quelle est l’efficacité de l’action de la raison ? auxiliaires que celle-ci trouve en nous.
La liberté, motivation de la raison. Contre la liberté d’indifférence. — Que la liberté doit être constatée directement, non pas fondée sur des spéculations à priori ou déduite. — Contre la conception d’une liberté débordant les faits.
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2. Deux grandes erreurs au sujet du devoir. — Le « naturalisme » supprime le devoir. — Discussion. — L’obligation, devoir transcendant, absolu. — Kant. — Influence persistante de la conception kantienne ; conséquences diverses de cette influence
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LIVRE II
Le principe moral.
CHAPITRE PREMIER. —
L’utilité individuelle.
1. Comment une fin peut être rationnellement justifiée. — Le principe du plaisir. Fausseté de l’ « hédonisme psychologique », vérité de l’ « hédonisme éthique »
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2. Le principe du plaisir et l’unification de la conduite. — Objections que l’on a adressées à l’ « arithmétique des plaisirs ». — Difficultés du calcul hédonistique. — Quelques précisions. — Le calcul hédonistique du point de vue dynamique : la considération des possibilités. — L’empire sur soi, condition du bonheur. — Si c’est s’éloigner du bonheur que de le poursuivre. — Conclusion du chapitre.
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CHAPITRE II. —
L’utilité générale.
1. Utilité individuelle et utilité générale. — Qu’elles ne coïncident pas. — Que l’égoïsme n’est pas plus naturel que l’altruisme. Le principe de l’utilité individuelle est rationnel, mais il ne l’est pas autrement, et il ne l’est pas plus que celui de l’utilité générale. — Les exigences et les démarches de la raison pratique. — Ce qui a empêché les auteurs de bien reconnaître ces démarches. Que ma doctrine est impliquée dans les doctrines utilitaires classiques
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