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odes.
pérant rien au delà de ce qui est permis, d’éviter celui qui n’est point ton égal. Viens donc, ô fin de mes amours,
Car, après toi, je ne brûlerai pour aucune autre
femme. Apprends les vers que répète ta voix que
j’aime. Les noirs soucis se dissiperont à tes chants.
Déjà les compagnons du printemps, les souffles de la Thracia qui apaisent la mer, gonflent les voiles, déjà les prés ne sont plus rigides, et les fleuves ne retentissent plus, grossis par la neige hivernale.
L’oiseau malheureux qui gémit et pleure sur
Itys fait son nid, cet éternel opprobre de la maison Cécropiænne, car il s’est cruellement vengé
des barbares désirs d’un roi.