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Docquois - Le Poème sans nom, 1919.djvu/273
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XXXVIII
. —
Tu ne te crois pas seulement
51
XXXIX
. —
Tu ne saurais t’envisager
52
XL
. —
Ah ! que de fois, à ton insu, je t’insultai
53
XLI
. —
Lyrique par essence, et jusqu’au procédé
54
XLII
. —
Au fond de mon sommeil, de toi je me repais
55
XLIII
. —
Bien qu’à nous oublier nous mettions tous nos soins
56
XLIV
. —
Dans mes rêves ton érotisme s’exaspère
57
XLV
. —
Un soir, je t’apparus couvert d’un long manteau
59
XLVI
. —
Les amants ne deviennent pervers, d’habitude
61
XLVII
. —
Tomberais-tu toi-même au piège de tes ruses ?
62
XLVIII
. —
Je veux m’imaginer la première visite
63
XLIX
. —
L’humble fille n’est pas, comme tu le présages
65
L
. —
Elle s’appelle Marianne ; et, cependant
66
LI
. —
Je t’ai peint l’humble fille des champs comme elle est
67
LII
. —
« Innocente ? » dis-tu. « S’est-elle pas donnée
68
LIII
. —
Non, Marianne, non, tu n’as pas spéculé !
69
LIV
. —
Ma peine était immense
70
LV
. —
Donc, je sais sa raison profonde
71
LVI
. —
J’ai commencé ma tâche infâme
72
LVII
. —
Va, retourne-t-en de ce pas
73
LVIII
. —
Quoi ! parce qu’elle est ta maîtresse
74
LIX
. —
Et toi-même, eh ! oui, toi, qui te crois gangrené
75
LX
. —
Marianne, à qui te dirait
77