Page:Correspondance de Nicolas Poussin (Jouanny, 1911).djvu/555

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ADDENDA.




Page 1. — Cote du dossier Poussin, à la bibliothèque de l’Institut : mss. N. S., t. CXX. — On consultera avec intérêt l'article M. R. Schneider, La première édition des lettres de Nicolas Poussin, par Quatremère de Quincy, dans le Bull. de la Soc. de l’Hist. de l’Art français, 1909, 4e fasc., p. 251-258.

Page 27. — La lettre de Publius Lentulus est une pièce apocryphe que ce Romain aurait adressée au Sénat et dans laquelle il faisait un portrait physique du Christ ; elle apparaît pour la première fois dans un écrit du frère Olivier Maillard, en 1552 (voir Feuillet de Conches, Causeries d’un curieux, Plon, 1862, 1er vol., t. I, ch. iii).

Page 31, note 2. — Avenel, Corr. de Richelieu, t. VI, p. 691.

Page 34, note 1, 3e ligne. — Publié en 1650.

Page 59. — « Qu’est-ce que ce « M. de Costanse » au gargantuesque pâté de venaison ? », se demande Ph. de Chennevières (La peinture française, p. 163), et si Poussin n’a « pas voulu écrire le nom du gourmet Costar, le courtisan connu par le recueil de ses Lettres flagorneuses, ami, compatriote et commensal de Chantelou ». M. Maurice Tourneux, qui a bien voulu examiner le problème, partage cette supposition : « En adressant à Poussin ce pâté monstrueux, Costar obéissait peut-être à une recommandation des Fréart ou se flattait de leur faire ainsi la cour. »

Page 76, note 1. — Voir H. Jouin, Ch. Le Brun et les arts sous Louis XIV, p. 34-35.

Page 351. — Trajano Boccalini (1556-1613), le « gazetier officiel d’Apollon ». — « Après beaucoup d’éloges