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2e. — page 179.

Le mont Chélydorée.

Montagne d’Arcadie, particulièrement consacrée à Mercure. Ce dieu trouva sur cette montagne la tortue dont l’écaille lui servit à faire une lyre. (Pausan., in Arcad., cap. xvii.)


3e. — page 179.

Eudore, comme un de ces songes brillants, etc.

Sunt geminæ somni portæ, quarum altera fertur
Cornea, qua veris facilis datur exitus umbris ;
Altera candenti perfecta nitens elephanto.

(Æneid., VI.)


4e. — page 180.

Eudore, pressé par l’ange des saintes amours.

J’ai retranché ici une comparaison qui m’a paru commune et superflue.


5e. — page 180.

Et comme épouse de leur frère.

Encore une phrase inutile retranchée.


6e. — page 181.

Un temple qu’Oreste avoit consacré aux Grâces et aux Furies.

Oreste, revenu de sa frénésie, sacrifia aux Furies blanches. Les Arcadiens élevèrent un temple à l’endroit où s’étoit accompli le sacrifice, et ils le dédièrent aux Furies et aux Grâces. Pausanias place ce temple près de Mégalopolis, sur le chemin de la Messénie. Je n’ai pas suivi son texte. (Pausan., in Arcad., cap. xxxiv.)


7e. — page 181.

Par un des descendants d’Ictinus.

Ictinus avoit bâti le Panthéon à Athènes.


8e. — page 182.

Les Zéphyrs agitent doucement la lumière du flambeau.

Après cette phrase, il y avoit une comparaison, je l’ai retranchée ; elle surchargeoit le tableau.