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neuse, monter dans le ciel… Il y vit le corps mort du saint qui avoit les genoux en terre, la tête levée et les mains étendues vers le ciel. Il crut d’abord qu’il étoit vivant et qu’il prioit. » (Vie des Pères du désert, traduction d’Arnauld d’Andilly, t. I, p. 14.)


80e. — page 166.

Deux lions.

(Voyez ci-dessus note 49e.)


81e. — page 166.

Ptolémaïs.

(Saint-Jean-d’Acre.)


82e. — page 166.

Je m’arrêtai aux Saints Lieux, où je connus la pieuse Hélène.

Préparation au voyage de Cymodocée à Jérusalem.


83e. — page 166.

Je vis ensuite les sept Églises.

Complément de la peinture de l’Église sur la terre. « Angelo Ephesi Ecclesiæ scribe… Scio opera tua, et laborem, et patientiam tuam. » Smyrne : « Scio tribulationem tuam. » Pergame : « Tenes nomen meum, et non negasti fidem meam. » Thyatire : « Novi… charitatem tuam. » Sardes : « Scio opera tua quia nomen habes quod vivas, et mortuus es. » Laodicée : « Suadeo tibi emere a me aurum… ut vestimentis albis induaris. » Philadelphie : « Hæc dicit sanctus et verus qui habet clavem David… Ego dilexi te. » (Apocal., cap. ii et iii.)


84e. — page 167.

J’eus le bonheur de rencontrer à Byzance le jeune prince Constantin, qui… daigna me confier ses vastes projets.

Regard jeté sur la fondation de Constantinople, que saint Augustin appelle magnifiquement la compagne et l’héritière de Rome. (De Civ. Dei.)