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Chénier - Œuvres poétiques, édition Moland, 1889, volume 1.djvu/405
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LXXVII.
La Seine en sortant de Paris
291
LXXVIII.
Des monts du Beaujolais
292
LXXIX.
Notes et fragments
292
LXXX.
Tu dis qu’on a dit du mal de moi
296
LXXXI.
L’Élégie est venue me trouver
297
LXXXII.
Élégie italienne. Éloge de la vieillesse
299
LXXXIII.
Élégie italienne. Ô c’est toi !
302
LXXXIV.
Élégie italienne. Allez, mes vers
303
LXXXV.
Élégie italienne. Tel j’étais autrefois
304
LXXXVI.
Élégie italienne. Ô belle (son nom)
305
LXXXVII.
Élégie italienne. On pourrait imiter
307
LXXXVIII.
Élégie italienne. Au sommet de la montagne
307
LXXXIX.
Élégie orientale. Salut, dieux de l’Euxin
308
XC.
Élégie orientale. Trop longtemps le plaisir
309
XCI.
Élégie orientale. Rustan peut en un mois
310
XCII.
Élégie orientale. La solitude
310
XCIII.
Notes et fragments pour les élégies orientales
311
Paris. — Typ. Ch. Unsinger, 83, rue du Bac.