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Bouchor - Les Poëmes de l’amour et de la mer, 1876.djvu/334
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XXVII.
Si quand je te contemple, ô reine de folie
168
XXVIII.
Le vent roulait les feuilles mortes ; mes pensées
170
XXIX.
Bonsoir ! Et pourquoi donc me regarder ainsi ?
172
XXX.
Est-ce donc qu’il est vrai, dans cette âpre vallée
174
XXXI.
C’est bien fini, le temps de compter jusqu’à trois
177
XXXII.
Il faisait une nuit merveilleusement belle
179
XXXIII.
La Symphonie des sanglots
181
XXXIV.
Le vent était bien doux, la lune était bien fine
185
XXXV.
Il ne nous reste donc, après tant de nuits folies
187
XXXVI.
Nous voguions en mer sous les étoiles
191
XXXVII.
Mon âme quelquefois me semble triompher
194
XXXVIII.
Le temps des lilas et le temps des roses
196
XXXIX.
C’est le vent qui m’a fait pleurer
198
XL.
L’année est morte, ding dong
200
XLI.
De quoi pouvions-nous bien parler, un soir de mai
202
XLII.
Une nuit orageuse et toute sombre. À peine
205
XLIII.
À présent, sur la route où je marche éperdu
207
XLIV.
La Vengeance des étoiles
209
L’AMOUR DIVIN
.
I.
Qu’ai-je donc ? le printemps me trouble et me soulève
217
II.
Comme des cavaliers innombrables, les flots
222
III.
Entre le ciel et l’eau j’ai cheminé longtemps
224
IV.
La Mer amoureuse
226
V.
L’air était doux. C’était l’heure où le jour décline
232
VI.
Autrefois
233
VI.
Aujourd’hui
236
VII.
Matin
240