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La retraite au hasard. — À la recherche des canons. — Qui vive ? — Le général prit le devant. — Je commandais la colonne. — Les officiers se rassemblèrent. — — Nous jurons de marcher en masse. — Devant le conseil de Niort. — Biron un fouet à la main. — Ripostes à Bourdon de l’Oise. — Je leur tiens tête 
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Une belle sortie. — Quelques traits. — Dans le château que je fouillais. — De quoi rafraîchir la troupe. — Chalbos fit vider les sacs.— Biron me donne une leçon. — « Il n’y était pas » 
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On veut perdre les braves gens. — Dans une auberge de Saint-Maixent. — Westermann comme individu. — Chez le commandant de place. — Un coupe-gorge. — Mon logeur effrayé. — On veut m’arrêter. — Cent grenadiers pour moi. — Un vainqueur de la Bastille au cachot. — J’écris à ma division. — Le capitaine Drouilly. — À Niort sous bonne escorte. — Mauvaise procédure. — En liberté 
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Au Comité de salut public. — Je retourne à l’armée. — Nous rencontrons Biron au relai. — Je commande à Saumur. — Les travaux de défense. — Les bourgeois de la ville en bonnet de nuit. — Général de division. — Un courrier extraordinaire. — Il fallut accepter. — — Me voila général en chef 
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Les représentants à Saumur. — Mon différend avec Philippeaux. — En tournée d’inspection. — Scène violente à Chantonnay. — Ils croyaient me donner un brevet de Jeanfoutre. — Sur le grand chemin. — À coups d’arrêtés. — « La grande destitution du géné—