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La révolte des paysans à Vernon. — Le général ne venait pas. — Aucune résistance. — Chicane au sujet de la solde. — Ma grande colère. — Nouvelles incorporations dans les vainqueurs de la Bastille. — Deux pas-grand’-chose 
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À l’École militaire. — La friponnerie de Hullin. — Je désirais l’epaulette. — La justice de Lafayette. — Je m’entête. — Propos soldatesques. — Les scènes continuent. — J’abandonne cette clique. — Un guet-apens. — Agent de Favras ! — Ma querelle avec Tournay 
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TROISIÈME PARTIE
Détails sur la 35e division de gendarmerie. — Aux Pont-de-Cé. — Je commande ma division.— Le combat de la Jumellière. — Au secours de Berruyer. — Nous donnons encore une fois. — Le père avec les Brigands et le fils avec nous. — L’affaire de Chemillé. — Position périlleuse. — La retraite. — Mes observations sont mal reçues. — Les subsistances. — Femmes fanatisées. — En cantonnement à Angers 
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À Saint-Lambert. — Les paysans déménagaient, — Une alerte. — Berruyer avait l’oreille dure. — Nos camarades en détresse. — Quand j’étais à Montreuil. — Pour être attaqué. — Nous entrons à Thouars. — L’occasion seule me commandait. — J’étais content du général Salomon. — Le baiser de Quétineau. — Là reposaient les braves Marseillais 
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Les malheurs de Leigonnyer. — Nous levons le camp. — Entre Thouars et Montreuil. — Bataille de nuit. — Un feu terrible. — Nos pertes et celles de l’ennemi. — Nous aurions passé 
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