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panier aux ordures. Il a dit souvent qu’un recueil de chansons, pour être complet, en devait contenir de mauvaises : il en faut pour tous les goûts ; mais il croit avoir suffisamment satisfait à cette obligation dans les recueils qu’il a publiés lui-même. (Note de Béranger.)

Cette chanson, dans l’édition de 1821, venait après le Mort vivant. Ce que dit Béranger explique pourquoi on n’a pas voulu, à la fin de Ma Biographie, recueillir les pièces qu’il a proscrites. (Notes de l’Éditeur.)


Note XIX. — Au titre.

Dans son ouvrage de l’Éducation des Filles, Fénelon entre dans les plus petits détails des travaux propres aux femmes.

Il faut bien se garder de faire de cette chanson une application générale. La critique qu’elle contient deviendrait injuste si l’on voulait y voir un tableau de l’éducation des jeunes personnes à l’époque où cette chanson fut faite. (Note de Béranger.)


Note XX. — Au titre.

Cette chanson et celle de Marie Stuart sont ce qu’on appelle des romances. C’est un genre particulier que Moncrif, Coupigny et quelques autres ont exploité très-heureusement. Béranger n’a fait ces deux romances que pour la musique, qui est d’un de ses amis. Depuis, ayant fait prendre à la