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Lettre CCLVII. Augustin à Oronce. — Témoignage de politesse et d’espérance religieuse.
CCLVIII. Augustin à Martien. — Conversion d’un ancien ami de saint Augustin. — Caractère d’une véritable amitié.
CCLIX. Augustin à Corneille. — Un veuf, ancien ami de saint Augustin et qui vivait dans la débauche, n’avait pas craint de demander au saint évêque un écrit à la louange de sa femme morte, comme pour le consoler de sa douleur ; l’évêque d’Hippone lui répond avec une très-belle sévérité, et lui dit qu’il n’obtiendra rien de lui à moins qu’il ne change de vie.
CCLX. Audax à Augustin. — Louanges adressées à l’évêque d’Hippone.
CCLXI. Augustin à Audax. — Humilité de l’évêque d’Hippone.
CCLXII. Augustin à Ecdicia. — Reproches et conseils adressés à une femme mariée.
CCLXIII. Augustin à Sapida. — Touchante et belle lettre de consolation à une jeune religieuse qui avait perdu son frère, diacre à Carthage ; elle avait demandé à saint Augustin de vouloir bien accepter et porter une tunique qu’elle avait faite pour son frère : le diacre était mort avant de pouvoir s’en servir.
CCLXIV. Augustin à Maxima. — Les œuvres du mal en ce monde profitent à l’avancement religieux des amis de Dieu.
CCLXV. Augustin à Séleucienne. — L’évêque d’Hippone réfute les opinions d’un novatien qu’une dame chrétienne lui avait signalées.
CCLXVI. Augustin à Florentine. — Saint Augustin écrit avec une bonté admirable à une jeune fille, pour l’encourager à lui adresser des questions.
CCLXVII. Augustin à Fabiola. — Comment nous sommes véritablement présents les uns aux autres.
CCLXVIII. Augustin aux fidèles d’Hippone. — Appel à la charité des fidèles pour payer une dette contractée, afin de libérer un catholique d’Hippone poursuivi par ses créanciers.
CCLXIX. Augustin à Nobilius. — Saint Augustin infirme et vieux, s’excuse de ne pouvoir se mettre en route, en hiver, pour aller assister à la dédicace d’une église.
CCLXX. — Un chrétien, dont le nom ne nous est pas connu, exprime à saint Augustin le regret de ne l’avoir pas rencontré dans une ville d’Afrique où il espérait le joindre, et où il avait seulement trouvé un ami de l’évêque d’Hippone, Sévère, évêque de Milève.




TRAITÉS PHILOSOPHIQUES.
LES SOLILOQUES ou CONNAISSANCE DE DIEU & DE L’ÂME HUMAINE
LIVRE PREMIER.
Chapitre premier. Prière à Dieu.
Chap II. Ce qu’il faut aimer.
III. Connaissance de Dieu.
IV. Qu’est-ce qu’une connaissance certaine ?
V. Une même science peut embrasser des choses différentes.
VI. Par quels sens intérieurs l’âme aperçoit Dieu.
VII. Jusques à quand la foi, l’espérance et la charité seront nécessaires.
VIII. Ce qui est nécessaire pour connaître Dieu.
IX. L’amour de nous-mêmes.
X. L’amour du corps et des choses extérieures.
XI. Les biens extérieurs doivent plutôt être acceptés que recherchés, en vue des biens véritables.
XII. Il ne faut rien désirer que ce qui conduit au souverain bien, rien craindre que ce qui en éloigne.
XIII. Comment et par quels degrés on parvient à la sagesse.
XIV. C’est la sagesse elle-même qui guérit les yeux pour les rendre capables de voir.
XV. Comment on connaît l’âme. Confiance en Dieu.


LIVRE DEUXIÈME.
Chapitre premier. De l’immortalité de l’homme.
Chap. II. La vérité est éternelle.
III. Si la fausseté doit toujours durer, et si elle ne peut exister sans être perçue, il s’ensuit qu’il existera toujours une âme quelconque pour la percevoir.
IV. Peut-on conclure l’immortalité de l’âme de la durée du vrai et du faux ?