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clus » ; admiration de Dante et de Pétrarque pour Arnaut Daniel. — La musique des troubadours. — Les genres : la chanson, le sirventés, la tenson, la pastourelle, l’aube. — Autres genres. 
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LA DOCTRINE DE L’AMOUR COURTOIS
COURS D’AMOUR
La doctrine de l’amour courtois : son originalité. — L’amour est un culte. — Le « service amoureux » imité du « service féodal ». — La discrétion ; les pseudonymes : les hommages des troubadours ne s’adressent qu’aux femmes mariées. — La patience vertu essentielle. — L’amour est la source de la perfection littéraire et morale. — L’orthodoxie amoureuse chez le troubadour Rigaut de Barbezieux. — Les cours d’amour d’après Nostradamus et Raynouard. 
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LES PRINCIPAUX TROUBADOURS :
PREMIÈRE PÉRIODE
Marcabrun : sa conception de l’amour ; un troubadour « misogyne » — Jaufre Rudel : son amour pour la « Princesse Lointaine ». — Bernard de Ventadour. — Sa conception de la vie. — Sa brouille avec le seigneur de Ventadour. — Son séjour auprès d’Éléonore d’Aquitaine ; auprès du comte de Toulouse, Raimon V. — Originalité de Bernard de Ventadour. 
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LA PÉRIODE CLASSIQUE
La période « classique ». — Arnaut de Mareuil, ; tendance à la poésie morale et didactique. — Giraut de Bornelh. — Sa manière. — La poésie morale. — Le poète de la « droiture ». — Arnaut Daniel ; Dante. — Le « style obscur ». — Bertran de Born ; le sirventés politique ; la poésie de la guerre. 
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LA PÉRIODE CLASSIQUE (suite).
Raimbaut d’Orange et la comtesse de Die. — Sincérité des poétesses provençales et de la comtesse de Die en particu-