Page:Andry - L’Orthopédie, tome I.djvu/412

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Ecrouelles, moyens de les guérir, lesquels consistent à procurer uns douce transpiration par l’Esquine, à user de masticatoires, & de sternutatoires, à purger souvent avec le sel d’ebson, à appliquer sur les Ecrouelles l’emplâtre de vigo.
105 106 &c.
Ecrouelles pendantes, moyen de les guérir.
Effort. Que tout effort est capable de causer le goëtre à certaines personnes, comme lorsqu’on soufle fortement dans une clef pour la déboucher, lorsqu’on souléve un fardeau trop pesant, lorsqu’on se mouche avec trop de violence, lorsqu’étant sur le point d’éternuer, on se retient tout-à-coup, &c.
Emmaillotter les enfans ; qu’il seroit mieux de ne les point emmaillotter du tout, que de les garroter comme l’on fait.
Emplatre bon pour le goëtre.
Enfans, Proportions du corps de l’enfant, en quoi différentes de celles des autres personnes.
48 & suiv.
Enfoncement des chaises sur lesquelles s’asseyent les enfanss, fait du tort à leur taille.
Engelures aux mains, moyen de s’en garantir, & d’y remédier.
Epaules, leurs différentes conformations.
Qu’on a des exemples de gens qui pour avoir été blessés à l’épaule, ont perdu le libre usage de la parole, & ne l’ont recouvert que par des rémédes appliqués à l’épaule.
Epaules rondes, épaule plus haute, ou plus grosse que l’autre, epaule qui panche trop d’un côté, moyen de guérir ces difformités.
Lorsqu’un enfant panche trop l’épaule sur un côté, quels moyens il faut employer pour l’en empêcher.
113 & 114.
Erreur de ceux qui pour obliger un enfant à baisser une épaule qu’il léve trop, lui mettent un plomb sur cette épaule.