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suisse et sur les pentes du Jura, 270. — Niveaux auxquels on les trouve, 272. — Leur forme, 273. — Leur origine, 274. — On a généralement attribué leur transport à des courans d’eau, 275. — Cette opinion n’est point en rapport avec le phénomène qui accompagne les blocs erratiques, 276. — Il y a des blocs erratiques dans les vallées intérieures du Jura, 278. — La position des blocs est une objection contre la théorie des courans, 281. — Opinions de M. Lyell, 283 ; de M. DeLuc, 284 ; de Dolomieu, 286. — Phénomènes qui prouvent un transport lent des blocs, 287. — Couche de sable et de gravier sur laquelle reposent les blocs, 288. — Roches polies du Jura, 289. — Lapiaz du Jura, 295. — Opinions de MM. Venetz et de Charpentier sur le transport des blocs, 298. — Surfaces polies en dehors des limites de la Suisse, 302. — La terre a été jadis couverte d’une immense nappe de glace, 304. — Circonstances qui en sont résultées, 305. — Les Alpes se sont soulevées au milieu de cette nappe de glace, 306. — C’est dans cette glace qu’ont péri les mammouth de la Sibérie, 307. — Opinion de Cuvier, 311. — Phénomènes produits par le retrait de cette glace, 316. — La faible inclinaison d’une pareille nappe de glace n’est point une preuve contre son existence, 319. — Dénudations qui ont dû être occasionnées par les courans résultant de la fonte de la glace, 322. — La diminution de la chaleur terrestre n’a point été graduelle, 327. — L’abaissement de la température qui a produit cette nappe de glace n’est point un fait unique, 328. — Formation de ces grandes nappes de glace, 329.