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Que les gouttes d’eau peuvent aussi s’arranger dans les nues en même façon que les parcelles de glace.
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Comment quelquefois le circuit des plus grandes nues s’arrondit, et même peut se couvrir d’une superficie de glace assez épaisse, sans que sa pesanteur les fasse tomber.
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DISCOURS SIXIÈME.
DE LA NEIGE, DE LA PLUIE, ET DE LA GRÊLE.
Comment les nues se soutiennent en l’air.
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Comment la chaleur, qui a coutume de raréfier les autres corps, condense les nues.
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Comment les parcelles de glace qui composent les nues s’entassent en divers flocons.
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ibid. |
Comment ces flocons se grossissent et tombent en neige, ou en pluie, ou en grêle.
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Pourquoi la grêle est quelquefois toute transparente et toute ronde.
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Ou seulement un peu plus plate d’un côté que d’autre.
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ibid. |
Comment se fait la plus grosse grêle, qui est d’ordinaire cornue et irrégulière.
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ibid. |
Pourquoi on sent quelquefois plus de chaleur qu’à l’ordinaire dans les maisons.
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ibid. |
Pourquoi la plus grosse grêle étant transparente en sa superficie est toute blanche et composée de neige au dedans.
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D’où vient que cette grosse grêle ne tombe guère que l’été.
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ibid. |
Comment se fait la grêle qui est blanche comme du sucre.
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ibid. |
Pourquoi ses grains sont quelquefois assez ronds et plus durs en leurs superficies que vers leurs centres.
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ibid. |
Pourquoi ils sont quelquefois pointus et ont la figure d’une pyramide ou d’un pain de sucre.
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