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XXIX. —
Érasme ne croit pas non plus que l’édition vulgaire du Nouveau Testament soit irréprochable, et, en dépit des craintes de Dorpius, il en donnera une édition critique
XXX. —
Il récuse l’autorité des synodes en ces matières
XXXI —
Si l’on écoutait les théologiens, le monde serait forcé d’accepter comme des oracles leurs contes à dormir debout
XXXII. —
Érasme ne croit pas que la méthode critique détache jamais de l’enseignement du Christ
XXXIII. —
Les travaux de Laurent Valla et de Jacques Le Febvre ne sauraient l’empêcher de poursuivre sa tâche, car, quel que soit le mérite de ces deux commentateurs, il ne partage pas leur avis sur tous les points. Il entend traduire le Nouveau Testament tout entier, en en donnant le texte grec et en justifiant par des notes sa version
XXXIV. —
Érasme charge, pour finir, son ami Dorpius de plaider sa cause auprès de ses adversaires comme Dorpius a plaidé la leur auprès de lui
XXXV. —
Compliments amicaux