Seconde partie des Muses françoises, Texte établi par Despinelle, chez Matthieu Guillemot (p. 259).


MVZAIN A VIRGILE.

 Ton parler n’a rien de mortel,
Honneur eternel de Mantouë,
Les Muses n’oient rien de tel,
Alors meſme qu’Apollon iouë :
 Ie t’offre pour les ſaincts threſors
De tes maieſtez nompareilles ;
Non point ce que prennent les morts
Soubs les vigueurs de tes accords ;
Mais vn cœur paſmé de merueilles.


A. D. V.