Mémoires secrets de Bachaumont/1763/Novembre

Texte établi par M. J. Ravenel, Brissot-Thivars éditeurs & A. Sautelet et Compagnie (Tome I (1762-1765)p. 224-235).
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Novembre 1763

Ier Novembre. — M. Marmontel ayant mis en drame son conte de la Bergère des Alpes, et M. de La Borde en ayant fait la musique, ces messieurs ont présenté leur ouvrage aux Italiens. Les comédiens, prévenus par le sieur Favart qu’il travaillait pour eux à la même pièce, ont refusé cette nouveauté, qui d’ailleurs ne leur a pas paru d’une bonté supérieure.

2. — M. le chevalier de La Morlière travaille à une suite de l’Histoire du théâtre, depuis 1720 jusqu’à nos jours. Il peut tirer un grand parti de ce morceau intéressant[1].

5. — Lettres sur l’origine de la noblesse française, par M. le chevalier d’Arcq[2]. Cet auteur est connu pour être fils naturel de M. le comte de Toulouse. Il discute les trois systèmes du comte de Boulainvilliers, de l’abbé Dubos, et de M. le président de Montesquieu. Il établit le sien, qui tend à conclure que la noblesse n’est qu’une concession de nos rois. Il le développe avec clarté, avec élégance et érudition.

6. — Il s’élève un orage terrible contre M. Thomas. M. Véron de Forbonnais réclame ses dépouilles ; il accuse cet orateur d’avoir pillé, de la façon la moins honnête, son livre des Recherches et Considérations sur les finances de France ; il prétend que la troisième partie du discours de. M. Thomas, et la meilleure sans contredit, est en entier extraite de son ouvrage, qu’il a rétréci et rapetassé étrangement. Il y a non-seulement puisé son plan, mais encore ses pensées, et quelquefois ses expressions. On voit dans l’Année littéraire un long détail sur ce plagiat. Cette découverte diminue de beaucoup la haute idée que certaines gens avaient des connaissances profondes de M. Thomas. On se met en garde contre lui, et l’on craint qu’il n’ait déjà fait, des larcins plus adroits, qu’on découvrira peut-être un jour. L’Académie Française doit être piquée qu’on lui en ait imposé à ce point ; et M. Thomas doit craindre que cette mésaventure ne l’exclue de sa prétention à cette compagnie.

7. — On a donné aujourd’hui la première représentation du Comte de Warwick, tragédie de M. de La Harpe. Ce héros célèbre joue un grand rôle dans les querelles fameuses des maisons de Lancastre et d’York ; connues sous le nom de la Rose rouge et de la Rose blanche. Le drame a fait la plus grande sensation : on y remarque une conduite sage. Un de ses plus grands mérites, c’est d’être éloigné de toutes les tragédies modernes. La simplicité de sa conduite s’étend au style, qui n’a rien de cette bouffissure si à la mode. Mademoiselle Dumesnil fait le rôle de Marguerite d’Anjou, avec un succès qui doit exciter la jalousie de sa rivale[3] qui n’y joue point. Il y a tout à espérer d’un auteur qui, a vingt-trois ans, fait un ouvrage aussi bien conduit. Il ne faut pas dissimuler, pourtant, que Shakapeare est un dangereux adversaire pour ce jeune homme, et qu’on, voit une infinité de réminiscences dans son drame.

8. — Nous allons consigner ici trois anecdotes concernant M. le chevalier de La Morlière. Elles peuvent fournir des traits fort piquans pour le dramatique. D’ailleurs, cet ouvrage étant des espèces de Mémoires pour servir à l’histoire des gens de lettres, la vérité nous oblige de tout dire à charge et à décharge.

M. de La Morlière est un excellent comédien. Il y a quelques années qu’étant retourné à Rouen, où il avait un tailleur pour créancier, celui-ci le rencontre, l’aborde, et lui demande sa dette. Le chevalier le regarde avec indignation, lui baragouine de l’allemand, au point d’en imposer à cet homme, qui lui demande pardon et s’en va.

Le chevalier continue son rôle de baron allemand, s’introduit çhez un conseiller du parlement, séduit sa fille et lui fait un enfant, lui promettant de l’épouser. La grossesse reconnue, le conseiller est obligé de consentir au mariage. Dans cet intervalle, le chevalier fait écrira au père, par un de ses amis de Paris, qu’il se défie d’un certain baron allemand, qui n’est autre chose que La Morlière. Étonnement du conseiller, qui se met en garde. Les couches se font sourdement, et, sous quelque prétexte, on renvoie le prétendant. Celui-ci continue ses assiduités auprès de la fille, qui veut à toute force l’épouser. Dans cet intervalle, il se présente un parti qu’on propose au père : il accepte, mais il ne peut déterminer sa fille. La Morlière tient bon, se présente toujours pour tenir sa parole, et fait arriver lettres sur lettres, qui confirment que c’est un imposteur, qu’on craigne tout de lui, qu’il est homme à déshonorer une fille et à le publier ; qu’il faut éconduire un pareil scélérat à prix d’argent. Le père le tire à part, lui déclare qu’il lui donnera dix mille francs, s’il veut se désister, tenir le secret et laisser faire le mariage de sa fille. Il éloigne bien loin la proposition : dix mille francs à un homme comme lui ! Bref, on lui en offre trente, qu’il accepte, et il déloge.

L’autre tour du même homme est à l’égard d’une femme mariée, qu’il séduit également, qu’il engage à quitter son mari, marchand à la place Maubert, et à lui voler tout ce qu’elle trouvera pour vivre heureuse avec lui. Elle accepte tout : le jour pris, elle part, après avoir pillé tout ce qu’elle peut, se rend dans une allée où est un jeune homme, ami de La Morliere qu’elle savait devoir l’attendre. Elle monte dans un fiacre ; elle est conduite dans un quartier isolé, où elle est introduite dans un appartement : il prend l’argent, sous prétexte de le serrer, sort, en laissant la femme avec le jeune homme ; va chez le mari, lui conte ce qu’il a vu et ce qu’il sait du préténdu enlèvement ; lui dit qu’il voie s’il n’a point été volé. Cela se reconnaît bien vite. Alors il déclare qu’il va le conduire où est sa femme : ce qu’il exécute. Le jeune homme est emprisonné comme complice du vol ; La Morlière triomphe, et se trouve hors de toute atteinte.

9. — En applaudissant à l’ouvrage de M. de La Harpe, on donne lieu de rechercher sa vie et ses mœurs. On en fait un portrait affreux. C’est déjà un monstre d’ingratitude et de noirceur, si l’on en croit tout ce qu’on en dit. Il faut prendre garde que la jalousie des talens ne cherche à se venger sur le caractère.

Mademoiselle Clairon, à la pique particulière qu’elle a contre l’auteur, d’avoir fait une pièce où elle ne devait pas jouer, joint une jalousie prodigieuse contre sa rivale ; elle rejaillit sur le jeune homme. Elle accrédite, elle favorise, elle répand tant qu’elle peut les mauvais bruits qui courent sur le compte de ce dernier.

10. — M. l’évêque du Puy ne cesse de s’élever contre la philosophie moderne avec plus de mission que son frère. Il est à craindre qu’il n’ait pas plus de succès. Il attaque courageusement et avec force plusieurs de nos auteurs vivans, et même morts ; il en veut spécialement à M. Rousseau de Genève. Estime des sciences naturelles, esprit de doute, tolérantisme, patriotisme, voilà les qualités que. M. l’évêque du Puy attribue à la philosophie moderne, et qu’il prétend réfuter dans son Instruction Pastorale. Cet ouvrage est traité supérieurement dans son espèce ; il est d’un homme instruit et pénétré de son état.

11. — On répand un bon mot qu’on attribue à M. le duc d’Ayen. Sans en discuter le mérite intrinsèque, il donne une idée de la tournure d’esprit des courtisans. C’est à l’occasion du vice-chancelier[4]. Lorsqu’on lui en donna la nouvelle : « Je ne vois, dit-il, dans tout cela qu’un vice de plus dans l’État. »

13. — Les Italiens ont donné hier Zélie et Lindor, drame nouveau en un acte mêlé d’ariettes, musique de M. Rigade, paroles de M. Pelletier. Ces auteurs inconnus chacun dans leur genre, n’acquerront pas beaucoup d’illustration par l’ouvrage en question.

14. — Les vers suivans sont d’un jeune auteur anonyme ; ils méritent d’être exceptés du fatras des Scriblers.

le toucher justifié.
À mademoiselle ***.

Pourquoi me grondez-vous quand votre collerette
Rend mon œil attentif et ma main inquiète ?
Ah ! répondez, Climène, et parlez sans détour :
Le respect vous plaît-il aux dépens de l’amour ?
Lorsque dans nos jardins je vois la fleur nouvelle,
J’y porte, en souriant, un regard curieux ;
Mais je ressentirais une peine cruelle
S’il ne m’était permis que d’y porter les yeux :
Ma main veut y toucher, et quand sur chaque feuille
Le désir innocent a promené mes doigts,
Son parfum me séduit, il faut que je la cueille :
Ainsi pour un plaisir j’en ai trois à la fois.

Elle Tel est l’ordre de la Nature ;
Elle nous a fait naître avec des sens jaloux.
Vous, qui les enchantez, prévenez leur murmure ;
Ou n’en flattez aucun, ou contentez-les tous.

— Les Italiens, inépuisables en nouveautés, donnent aujourd’hui les Jalousies d’Arlequin, pièce italienne, pour servir de suite aux Amours de Camille et d’Arlequin. La pièce est du sieur Goldoni.

16. — On a donné aujourd’hui aux Italiens la prernière représentation du Rendez-Vous, comédie en un acte et en vers, mêlée d’ariettes. Les paroles sont de M. Légier, la musique de M. Philidor. Le drame ne vaut pas la peine qu’on en fasse mention. On voit dans la musique, le talent soutenu de l’auteur se fortifier, se nourrir, s’étendre, et acquérir de plus en plus de la vigueur et de la consistance.

— ""Éloge historique du cardinal Passionnei[5]. Ce prélat, mort au mois de juillet 1761, était né en 1682 : c’était un savant profond dans les antiquités et dans les discussions canoniques. Il a fait une Oraison funèbre du prince Eugène, très-applaudie dans son temps. Cet éloge contient beaucoup de recherches et de détails érudits. Le cardinal était associé étranger de l’Académie des Belles-Lettres, et bibliothécaire du Vatican. On désirerait dans cet Éloge plus de morceaux relatifs à la vie privée de ce prélat.

17. — Nous avons entendu lire aujourd’hui une tragédie manuscrite de M. de Rochefort : c’est une nouvelle Pénélope[6] traitée dans le goût de l’antique. Il a essayé de remplir les entractes d’une musique analogue au sujet, et il paraît avoir réussi ; du moins il donne matière à un grand harmoniste de développer toutes les richesses de son art. Le drame est très-simple, dénué de cet amour secondaire qu’y a introduit M. l’abbé Genest. L’auteur, pénétré de son Homère, en a tiré grand parti, et a inséré dans son drame tout ce qu’il a pu extraire de ce grand, poète.

19. — M. de Sauvigny, peu content du succès médiocre de son Socrate, a pris le parti de le mettre d’abord en quatre actes, et puis en cinq. Il est à présumer que ce drame en deviendra détestable. L’action, déjà très-peu chaude, n’en sera que plus froide, et le remplissage qu’il faudra mettre diminuera absolument le mérite de la versification, en général assez bien faite, mais désormais lâche, diffuse, et noyée dans des dialogues trop allongés.

Cet auteur fait actuellement des Apologues Orientaux, qui s’impriment et paraîtront incessamment.

20. — On lit dans la trente-troisième feuille de l’Année Littéraire, page 177, l’anecdote suivante : « Il y a dans Paris un homme de lettres[7] qui a pris la peine d’examiner les soixante-dix premières pages de ce livre si vanté (l’Esprit des Lois)… Il a trouvé dans ces soixante-dix pages un si grand nombre de faits et de citations fausses, tronquées ou altérées, que la discussion qu’il en a faite lui a fourni de quoi remplir deux volumes in-12, qui furent imprimés, et dont on tira cinq cents exemplaires. Le président de Montesquieu eu fut si alarmé, qu’il se donna de grands mouvemens pour en empêcher la publication. Il y employa le crédit de tous ses amis, et fut assez heureux pour réussir… Elle (cette critique) fut communiquée à plusieurs personnes qui sont en état d’en rendre compte ; il s’en est même sauvé quelques exemplaires… »

C’est à l’auteur de l’Année Littéraire à justifier une imputation aussi hardie, et à constater une anecdote aussi intéressante.

21. — M. le marquis de Ximenès, ayant essayé vainement de se faire un nom comme auteur, se borne à présent à se faire des protégés. Il a une cour de jeunes gens, dont quelques-uns sont déjà connus. Il a pris M. de La Harpe sous son égide et vient de faire imprimer une feuille où il exalte sa pièce au-dessus des nues[8] : « c’est ainsi, dit-il, qu’ont commencé Racine et Voltaire… » Les Frères ennemis accolés à l’Œdipe !

Il paraît une critique en libelle de cette même pièce : on l’attribue à M. de La Morlière, auteur connu de toutes ces satires clandestines.

22. — L’Optique, ou le Chinois à Memphis ; Essais traduits de l’égyptien, roman en deux parties de M. de Saint-Peravi. Il est malheureux pour cet auteur que Zadig et Candide aient été faits : il a une sorte de style, et son ouvrage n’est pas d’un sot ; mais un roman, après ceux-là, ne peut que déchoir.

23. — Instruction pastorale de l’humble évêque d Alétopolis, à l’occasion de l’instruction pastorale de Jean-George, humble évêque du Puy. Tel est le titre d’un pamphlet attribué à M. de Voltaire, touchant cette Instruction, qui a trois cents pages in-4o[9] avec des notes, et dans laquelle cet auteur est attaqué en plusieurs endroits et très-maltraité pour son compte. Celui-ci a voulu s’en venger par des sarcasmes, et il a accouplé au prélat le frère académicien. Cette plaisanterie n’est pas des meilleures ; elle n’empêche pas que l’ouvrage de M. du Puy ne soit très-estimé.

24. — M. le comte de Lauraguais est de retour en cette capitale. Cette grâce, qu’on avait refusée à sa famille et à sa femme, a été accordée aux sollicitations de mademoiselle Arnould ; Cette anecdote, très-glorieuse pour les arts, mérite d’être conservée. On assure que mademoiselle Arnould a saisi l’instant de la sensation très-vive qu’elle a faite à la cour dans l’opéra de Dardanus, dans le rôle de Céphise ; elle s’est jetée aux pieds du duc de Choiseul et a demandé, dans cette posture pathétique le rappel de son Dardanus. Les entrailles du ministre galant se sont émues, il s’est prêté de la meilleure grâce du monde à des instances si tendres. M. le comte de Lauraguais a cru devoir rendre hommage de sa liberté à son auteur ; il lui a consacré les premiers jours de son retour. Pour ne point troubler ses plaisirs, madame de Lauraguais s’est retirée au couvent.

Nota. M. de Lauraguais n’est point de retour. La demande de mademoiselle Arnould, quoique très-séduisante, n’a pas produit un changement si merveilleux ; elle contribuera pourtant beaucoup à ce rappel, qui ne tient, dit-on, qu’à la condition préalable, qu’on exige, de la séparation du comte d’avec son épouse.

25. — Dans une suite du compte historique qui a été rendu de la conduite de M. Chastelier Dumesnil en Dauphiné[10], on lit cette chanson. Elle fait anecdote, et mérite d’être consignée ici.


Margot la ravaudeuse
A dit à Dumesnil :
Cousin, je suis bien gueuse ;
Viens rebattre mon lit,
Comme ton aïeul Blaise,
Qui jadis l’a battu
QPour un quart d’écu !

On prétend M. Chastelier petit-fils d’un cardeur de laine.

On lit dans la même relation le détail d’un placard séditieux, affiché à Grenoble, dont voici les paroles :


Ô France ! ô peuple esclave et servile !
en méprisant les lois
on t’arrache tes biens
pour t’en former des chaînes
le souffrîras-tu,
peuple assemblé ?

25. — M. Marmontel a été élu de l’Académie Française avant-hier. Il avait essuyé depuis long-temps plusieurs refus. L’extrême licence avec laquelle il avait parlé d’un grand seigneur[11] au souper d’une actrice, et la bassesse avec laquelle il avait désavoué ensuite cette satire, contre-balançaient ses talens littéraires. Son ennemi a eu la générosité de finir par le mépriser.

26. — Mademoiselle Mazarelli, cette fameuse courtisane connue par ses aventures et par son procès, vivait depuis quelque temps avec M. de Montcrif. Elle a puisé dans le sein de cet académicien un goût pour la belle littérature. Elle s’est évertuée en conséquence. Elle avait concouru pour le prix de l’Académie, et son discours paraît imprimé. Il est sans doute très-bon pour une femme de cette espèce ; mais son Éloge de Sully est d’un pinceau mort et sans vigueur. Quoiqu’il y ait apparence que son Anacréon y ait mis la main, on n’y retrouve aucun trait mâle qui caractérise le génie nécessaire pour une production de cette espèce. Il est vrai que M. de Montcrif, plus délicat que nerveux, n’a jamais que sacrifié aux grâces.

27. — On répand un bon mot du roi, que Sa Majesté peut avoir dit de très-bonne foi, mais qu’a relevé la malignité des courtisans. Lorsqu’il a été question de remplacer M. de Bougainville, le roi en parlait à quelques seigneurs, et demanda si ce serait M. Thomas. « Non, sire, répliqua M. de Bissy qui était présent, il ne s’est pas mis sur les rangs, car il ne m’est pas venu voir. — C’est qu’il ne vous croyait pas de l’Académie, » reprend Sa Majesté ; et les courtisans de rire.

28. — Les Comédiens Italiens, ont donné aujourd’hui une comédie en trois actes et en vers, intitulée l’Heureux événement. Cette pièce n’a pu aller jusqu’à la fin ; elle est de M. Le Blanc, l’auteur de Manco. On a dit méchamment qu’elle ne ferait pas époque dans la vie de l’auteur.

29. — Le Comte de Warwick est imprimé. Il soutient sa réputation à la lecture. La pièce est dédiée au prince de Condé. On lit à la fin une lettre à M. de Voltaire, où ce jeune auteur développe son sentiment sur le genre, qu’il embrasse. Il le fait avec une noblesse que ses ennemis traiteront de hauteur ; il tranche, mais poliment, et sans nommer personne ; elle est fort bien écrite. Il rend à M. de Voltaire tous les hommages qui sont dus au prince du Parnasse.

    démis, le 11 octobre 1763, de la charge de garde-des-sceaux, René-Charles de Maupeou obtint la place du démettant et le titre de vice-chancelier. — R.

  1. Ce travail n’a pas été publié. — R.
  2. Attribuées à l’abbé Mignot de Bussy par l’auteur du Dictionnaire des anonymes. — R.
  3. Mademoiselle Clairon. — R.
  4. Le chancelier de Lamoignon ayant été exilé et Feydeau de Brou s’étant
  5. Par l’abbé Goujet. La Haye, 1763 ; in-12. — R.
  6. L’abbé Genest a fait jouer, le 12 janvier 1684, une tragédie de Pénélope, reprise plusieurs fois. — R.
  7. Crévier. — R.
  8. V. 8 décembre 1763. — R.
  9. V. 10 novembre 1763. — R.
  10. V. 27 octobre 1763. — R.
  11. Le duc d’Aumont. — R.