Mémoires d’une danseuse russe/T3-02-1

Sous les galeries du Palais Royal (1 à 3p. 119-138).



IMPRESSIONS DE LA BOÏARINE














Bandeau typographique
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YVAN



J ’ai cru qu’elles ne s’en iraient plus ces deux vampires. Autant je désirais leur venue pour les distractions que nous devions prendre ensemble sur les postérieurs de mes filles de chambre, autant j’ai souhaité vivement leur départ. Elles l’auraient mis à sec, si elles étaient restées huit jours de plus. Enfin, elles sont parties, grâce au ciel.

J’ai mandé mon cocher Yvan ce matin dans ma chambre, après avoir congédié mes habilleuses, qui sur mon ordre m’avaient laissée en peignoir. Il entra, s’inclinant jusqu’à terre, comme il sied à un serf devant sa maîtresse. Je tenais à la main une forte verge que je brandissais d’un air menaçant.

— Yvan, tu vas te mettre tout nu pour que je puisse te fouetter à mon aise. J’ai à te punir d’une malpropreté, dont tu t’es rendu coupable sous mes yeux le jour où je te fouettai sur l’estrade.

Le jeune serf ne paraissait pas fort effrayé de ma menace en se dévêtant, il avait au contraire la figure de quelqu’un qui se doute, que si je me servais d’une verge, ce ne serait pas de celle que je brandissais. Peut-être aussi que ma toilette matinale lui rappelait les visites en négligé que lui faisaient les deux vampires.

Quand il enleva sa chemise je revis l’objet tel qu’il m’était apparu sur l’estrade, à point pour ce que je voulais en faire. L’espoir d’avoir affaire à sa maîtresse avait dû lui suffire pour acquérir ce beau volume. Je ne pus m’empêcher de me porter vers ce gros outil, et bien que ce fut l’outil d’un serf, je le pris dans ma main. Il grossit encore. Je jetai les bouleaux.

— Je te donnerai les verges après, mais je veux que tu me fouettes avant avec celle-ci. Et si tu ne me fouettes pas bien, si tu n’as rien gardé pour ta maîtresse, si tu as tout dépensé avec des étrangères, tu m’entends bien, je te promets de t’enlever la peau des fesses, et de t’arracher ce vilain outil, s’il n’est plus bon à rien.

J’enlevai tous mes vêtements, ce qui ne fut pas long, et je m’agenouillai devant un fauteuil, ne voulant pas qu’un serf fut tenté, dans le feu de l’action, d’embrasser sa maîtresse, ce que je lui aurais fait payer cher. Il s’agenouilla avec une précipitation de bon augure.

Il dut aider son gros outil à entrer dans l’enceinte, où il ne pénétra pas sans difficulté, et son ventre vint se reposer sur mes fesses. Je n’avais pas prévu ces deux contacts, le premier d’abord qui me froissait dans ma délicatesse, puis le second, qui me causa une surprise presque désagréable. Mais j’oubliai bien vite ces deux froissements faits à ma dignité, car l’outil de ce rustre garnissait le logis en le dilatant et me touchait au cœur.

Il navigua trois fois sans désemparer, déchargeant chaque fois sa cargaison au port. Combien de fois abordai-je durant ce voyage au long cours ? Je ne sais, mais je ne manifestai jamais mon émotion. Cependant il devait le deviner à l’agitation plusieurs fois renouvelée de mes fesses.

Quand je le renvoyai, j’avais repris toute ma dignité, et lui et son affaire toute leur humilité. Je passai une demi-heure à faire la toilette de ces parages souillés par l’outil d’un serf, bien que je n’eus pas l’habitude de me servir moi-même mais je ne voulais pas mettre mes filles de chambre dans la confidence.

Il y avait deux heures que j’avais renvoyé le porteur du bel outil à sa besogne, quand la fantaisie me reprit de tenter de nouveau le pouvoir des charmes d’une maîtresse sur un serviteur, à une distance si rapprochée d’un trio si bien joué. Je mandai de nouveau Yvan, qui entra en s’inclinant profondément.

Avant de rien entreprendre, je lui demandai s’il se sentait de force à me fouetter comme tout à l’heure et aussi souvent. Si tu ne me donnes pas mon compte, lui dis je, moi je te promets de te donner le tien. Avant de me répondre, il se déshabilla et me montrant l’objet terriblement quillé, il me donna l’assurance, qu’il me fouetterait, puisque je lui en donnais la permission aussi bien, et aussi fort que tout à l’heure.

— Trois fois ?

— Trois fois maîtresse, et si je m’arrête en chemin, vous pourrez me fouetter, maîtresse, pour me redonner des forces.

— Alors elle est inépuisable ce n’est pas comme celles-ci, qui sont si vite usées.

Je repris de nouveau la posture à genoux devant le fauteuil, les dessous relevés. Cette fois, j’essayai de lui ouvrir la porte, mais je vis bien que son gros outil n’entrerait pas facilement, s’il ne le dirigeait pas lui-même et je dus de nouveau subir son contact.

Il ne s’était pas vanté. Il navigua trois fois, déposant du lest à chaque escale qu’il faisait au port, appuyé sur les fesses de sa maîtresse, qui commençait à s’y faire, car elle n’avait jamais rêvé d’un serviteur de cette taille.

Il a vraiment une machine surprenante, toujours en état de fonctionner, et comme je suis à l’abri d’une rechute d’enfant, autant lui laisser jeter son lest dans le bassin.

J’ai eu cette après-midi une autre fantaisie. Sous prétexte de sieste, je me suis fait déshabiller, j’ai passé un peignoir. Puis j’ai fait monter le jeune serf, qui derechef m’a servie trois fois dans la même posture sans jamais faiblir dans la lutte. Vraiment les réservoirs qui alimentent ce bel outil doivent être inépuisables.

Je lui jette une serviette, lui disant de m’attendre, je vais faire une toilette intime, et je reviens toute nue. D’un coup d’œil jeté au serviteur, je remarque qu’il n’est pas en aussi brillant état que quand il est sorti du repaire. Je n’ai pas l’air de m’en apercevoir, je me renverse sur le bord du lit, m’offrant à lui par devant, les cuisses bien écartées, pour qu’il ne perde rien de ce qui peut ranimer sa virilité.

À cette vue Yvan perd la tête, et manquant au respect qu’il doit à sa maîtresse, il se précipite sur le con défendu qui le fascine, et l’embrasse à pleine bouche comme si c’était celui d’une fille de chambre quelconque. Mon premier mouvement est de me relever pour le châtier de son insolence, mais je réfléchis qu’il avait peut-être besoin de cela pour s’émoustiller, je le repousse brusquement des deux mains. Il se relève, et je vois que son outil, qui baissait la tête, la relève gaillardement, excité par cette accolade sur le minet sacré de sa maîtresse.

Quand je le vois se diriger vers l’orifice, je ferme instinctivement les yeux. Je l’avais sentie jusqu’ici, mais je ne l’avais jamais vu m’aborder. Il planta l’outil entre les bords, s’aidant de ses doigts, poussant et s’enfonçant lentement jusqu’au sein, mais cette fois au plus profond.

Il dut me prendre dans ses bras, pour pouvoir me servir à l’aise. Sa poitrine effleurait la pointe de mes seins, et chose, étrange, ce que j’aurais châtié à un autre monsieur avec sévérité, me causait un certain plaisir. Il ferma les yeux quand il fut dans un état où nul ne se connaît, pas même un serf, pour ne pas être tenté d’embrasser la gorge ou la bouche, qui étaient sacrées même pour un serf délirant.

Je me suis si bien trouvée de cette posture, dans laquelle l’outil à plaisir se consacre tout entier à votre bonheur, que je veux l’utiliser souvent ainsi.

J’ai depuis quelques jours une fantaisie corsée, que j’hésite chaque matin à satisfaire. Je voudrais prendre ce gros engin dans mon derrière, pour savoir ce que l’on éprouve avec un bijou de ce calibre dans les fesses. Mais je crains qu’il me ne déchire en entrant. J’y pensais encore ce matin me demandant si je tenterais oui ou non l’épreuve aujourd’hui.

Mais au fait, il n’y a qu’à essayer sur Catya. S’il lui gâte les fesses eh ! bien tant pis pour ses fesses. Le beau malheur qu’une serve ait le cul abîmé pour une expérience que veut tenter sa maîtresse ! Elle a passée par là d’ailleurs ainsi que toutes ses compagnes, car nos invités ne se gênent guère pour les prendre par tous les bouts. Seulement elles n’ont pas dû en loger souvent de ce calibre.

Sitôt pensé sitôt exécuté. J’envoie quérir la fille de chambre et Yvan, qui entrèrent en même temps, s’inclinant tous deux à une distance respectueuse. La jeune fille semblait se demander pourquoi je les avais fait monter ensemble, le jeune serf et elle.

— Yvan, tu vas me trousser cette fille. Tu la mettras en travers de tes cuisses, et là, tu lui appliqueras sous mes yeux une bonne fessée, que tu ne cesseras que lorsque je t’arrêterai, et surtout ne la ménage pas.

Puis tu m’obéiras en tout point en faisant ensuite tout ce que je te commanderai sur ses fesses.

Yvan avait déjà troussé la fille dont le gros derrière émergeait en dehors de ses cuisses, bien en face de mes yeux. Au signal donné la main s’abattit avec force, s’imprimant sur la peau en rouge vif, chaque gifle amenait le sang à fleur de peau, faisant sauter la croupe sur les genoux.

Il la fessa ainsi pendant dix minutes, la peau en fumait, et la fille de chambre, qui supportait assez bien les verges que je lui appliquais cependant avec sévérité, se tordait et se lamentait sous les maîtresses claques, que la forte et large main du serf lui détachait avec une vigueur redoutable.

Je lui montrai les cuisses, chaque claque meurtrissait la chair. Ce fut alors des hurlements de rage. Jamais fessée à la main ne me réjouit autant que ces gifles cinglantes, qui abîmaient ce fessier orgueilleux et les alentours. Je l’arrêtai après vingt minutes de ce traitement salutaire. La peau était fendillée en plusieurs endroits.

— Maintenant porte-la devant ce fauteuil, agenouille-la ainsi toute troussée. Toi, porte-toi devant ce gros cul fumant et plante-lui ton bel outil dans les fesses. Je ne serais pas fâchée de voir la jolie grimace qu’elle fera, quand elle l’aura tout entier dans son vaniteux derrière, bien qu’elle en ait logé d’autres, mais pas de ce volume.

Toi, la belle, si tu n’aides pas ton complice à entrer, tu dois savoir comment çà se pratique, c’est à moi que tu auras à faire, et les verges auront beau jeu à faire saigner ton vilain derrière déjà tout écorché par cette main de fer. Lamente-toi un peu moins, et aide-le un peu mieux.

Yvan, qui avait baissé sa culotte, avait mis au jour son gros outil. Jamais je ne l’avais vu dans un aussi brillant état, et je regrettai de ne pas avoir à m’en servir tout de suite.

Catya l’aide en effet, Yvan met la tête de l’outil sur l’orifice. À ma grande surprise, la tête entre assez facilement, se logeant dans les bords écartés. Puis il y pousse le reste, qui s’enfonce plus difficilement, élargissant de plus en plus les bords, se plongeant jusqu’au fond. Il ne restait dehors que ce qui ne pouvait pas franchir la porte.

Je fis signe à Yvan de sortir immédiatement du repaire. Il se retira peu à peu, et quand il fut sur les bords, je vis que l’ascension et la descente lui avaient suffi pour s’épancher. Heureusement qu’il y avait des serviettes préparées en prévision de l’événement.

— Essuie-toi, grande malpropre et emporte ces deux serviettes. Va prendre un bain, et reviens tout de suite me montrer tes fesses. Si elles ne sont pas propres, je te promets une danse complète au retour.

Je regrettais la perte qu’avait faite l’outil dans le fourreau, non pas que je voulusse le prendre dans mes fesses sortant du cul d’une serve, j’aurais envoyé Yvan prendre un bain, comme je l’y envoyai d’ailleurs, en lui recommandant de ne pas s’amuser. Puis je voulais éviter que Catya en profitât, l’expérience me suffisait. Mais la précipitation avec laquelle tout çà avait été conduit me rassurait sur l’issue.

Yvan revint le premier. Il était plus pressé sans doute que la fille de chambre, car ce qui attendait l’un, c’était une faveur inappréciable pour un humble valet, et ce qui menaçait l’autre, c’était une douzaine de claques qu’Yvan serait chargé de lui appliquer. Je comptais aussi sur l’effet que ne manquerait pas de produire cette nouvelle fessée sur sa virilité. Enfin Catya parut.

— Trousse-la, Yvan. Tiens-lui les fesses écartées, que je voie si elle les a propres.

Il n’y avait pas la moindre trace d’effraction, les plis étaient resserrés comme avant la prise de possession.

— Maintenant reprends-la sur tes genoux, et applique-lui douze bonnes claques sur les fesses, elles peuvent encore les recevoir sans trop de dommage, pour lui apprendre à se dépêcher une autre fois et à ne pas faire poser sa maîtresse.

Le serf la remit en posture, et lui appliqua les douze claques commandées avec une vigueur et une lenteur calculées. Les dernières gifles lui mirent les fesses en sang. Quand elle eut fini de hurler, je la renvoyai à sa besogne.

— Voyons maintenant si tu es en état de me servir.

Il était peut-être plus brillant que pour la première escarmouche, sans doute parce qu’il savait qu’il allait entrer dans un domaine seigneurial. Je lui recommandai de prendre toutes ses précautions. Il hésitait l’arme au poing.

— Que crains-tu donc, pour hésiter ainsi à la porte ?

— Il faudrait préparer la voie.

— Et comment ? Tu ne l’as pas préparée pour Catya. Il est vrai que pour le vulgaire cul d’une serve, on ne prend pas des précautions comme pour les nobles fesses d’une boïarine. Voyons comment tu t’y prends pour préparer l’entrée ?

Je me doutais bien un peu de ce qu’il allait faire. À genoux devant le cul de sa maîtresse, il posa ses lèvres sur l’orifice, le lécha et le relécha, y poussa sa langue à plusieurs reprises, puis il vint appuyer la pointe de son arme sur l’huis lubrifié. Mais il eut beau s’escrimer de ses dix doigts, il ne put jamais forcer l’entrée tout seul.

Je dus moi aussi l’aider, car j’étais impatiente de sentir le gros objet dans mes fesses. Grâce à l’aide que je lui apportai, il se logea doucement, je sentais les bords s’écarter, et le fourreau se dilater pendant qu’il pénétrait lentement, et quand il fut tout en haut, je sentis qu’il déposait son offrande bouillante dans mes entrailles. Je n’éprouvai que la sensation de l’occupation.

Je sentais qu’il me manquait quelque chose.

Il se remit à voyager un moment, reprenant du champ, s’enfonçant et redescendant lentement. Enfin il déposa sa seconde offrande, j’éprouvai du plaisir cette fois, mais il me manquait toujours quelque chose. Je le renvoyai à son écurie.

Je savais bien ce qui me manquait. J’y ai suppléé aujourd’hui. J’ai fait monter Mina, ma femme de chambre favorite, dont j’ai fait jadis l’éducation. Je n’en ai jamais abusé, quand il ne me manquait rien, mais aujourd’hui elle sera le suppléant qui me manquait.

— Ma fille, j’ai besoin de tes services.

Tu devines lesquels ?

— Oui, maîtresse.

— Mais j’entends te garder pour moi seule, en dehors de ton jeune maître, à qui je ne veux pas t’enlever.

Oui, maîtresse.

Elle balbutia ce oui en rougissant. Je savais pourquoi. Je ne pouvais pas ignorer les relations des deux soubrettes avec mon fils, et la passion mutuelle de ces deux filles, qui leur avait valu un châtiment vigoureux. Le jeune barine en profite, il fait bien et tant qu’il continuera à s’en servir je fermerai les yeux. Après j’en ferai mon affaire, si elles s’avisaient de continuer.

Yvan entra saluant et se courbant jusqu’à terre. En le voyant entrer, Mina devina le rôle que je lui réservais. Sans plus de préambule nous nous mîmes tous en tenue. Mina se chargea d’introduire le visiteur, puis elle vint s’agenouiller devant le porte qui lui était réservée.

Elle n’avait rien oublié, elle avait fait même des progrès sensibles. Elle me traita avec une ardeur que je ne lui connaissais pas, et elle mit dans l’action une chaleur à laquelle elle ne m’avait pas habituée. Était-ce parce qu’elle avait tenu dans sa main le superbe outil pour le diriger dans son logis ? Je ne sais, mais ce que je sais c’est que le locataire n’a pas pris l’avance aujourd’hui sur la propriétaire du logement. Par exemple, moi blasée sur tous les plaisirs, j’ai failli perdre mes sens, quand, à la seconde émotion que j’ai éprouvée, le visiteur a déposé son injection bouillante dans mes entrailles.

Deux fois encore, j’ai repris l’avance avec le même succès. Mina y contribuait par son agilité et son ardeur ininterrompues. Je l’ai laissé se distinguer encore deux fois pendant que le visiteur se retirait lentement.

Depuis que j’ai trouvé ce qui me manquait, quand je veux loger le bel outil dans mes fesses, je fais monter Mina, qui accourt au premier appel, et dont l’ardeur et l’agilité ne se démentent jamais.

Quand je veux que la fête soit complète, j’envoie quérir Catya, dont je confie la correction à un jeune serf, qui lui applique sur ses genoux des fessées terribles avec sa grosse main velue, qui lui met chaque fois les fesses en sang. Je lui ai enseigné à la gifler entre les cuisses, ce qui lui fait pousser des hurlements de bête fauve, et moi j’y gagne un tel feu, à voir déchiqueter ces fesses et ces cuisses détestées, que je prends ce jour-là un plaisir inouï.

Yvan, lui aussi après cette verte fessée, surtout depuis qu’il la gifle entre les cuisses, est dans un état de raideur tel, qu’il fait jusqu’à quatre voyages, quelle que soit la route qu’il parcourt.

Mina elle-même y gagne en ardeur, et je bénéficie triplement de la rude fessée appliquée à Catya, que je réserve pour nos jeux, d’abord le plaisir des yeux en voyant gigoter ces fesses malmenées, et celui que je retire ensuite de mes deux, champions en rut.

Depuis que j’ai éprouvé la saveur de la langue de Mina, j’ai exigé de la fille de chambre, qui me les rend d’ailleurs avec autant d’ardeur qu’à côté, d’autres services qui ont bien leur prix. Quand Yvan me prend par devant, après m’avoir couchée sur le bord du lit, il me redresse ployé sur ses genoux, et pendant qu’il fouille le logis debout, toujours péniblement dans cette posture, mais à mon grand plaisir, Mina agenouillée entre le lit et mes fesses, se livre à toutes les caresses que j’exige d’elle, ne retirant ses lèvres et sa langue de leur occupation, que lorsque je n’ai plus besoin de leurs services.

FIN.