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TitreCours de littérature française Voir l'entité sur Wikidata
VolumeTome IV
AuteurAbel-François Villemain Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionDidier
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1840
BibliothèqueBibliothèque nationale de France
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SérieI, II, III, IV

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TABLE ANALYTIQUE
DES MATIÈRES CONTENUES DANS CE VOLUME.

XLVIIIe LEÇON.
Pages.
Considérations générales sur l’éloquence politique. – Caractère particulier de l’éloquence politique chez les modernes, et surtout en France. — En quoi diffère de la tribune antique. — La Grèce. — Rome. – Puissance de l’improvisation. — Exemple rapporté par Cicéron. — Vie périlleuse des orateurs. — Admirable peinture qu’en fait Cicéron. — Cet état presque habituel de la république romaine se retrouve dans nos troubles civils. — Une séance du sénat romain. — Caractère politique de l’éloquence chrétienne dans les premiers siècles. — Résumé 
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XLIXe LEÇON.
L’éloquence politique placée moins haut par Cicéron que l’éloquence judiciaire. Pourquoi ? — Rare et tardive chez les modernes. — Elle n’a longtemps d’autre asile que les conciles. — Anciens états généraux de France. — Parlement d’Angleterre. — Vicissitudes de la constitution anglaise. — Époques diverses du parlement. — Époques scolastique et religieuse. — De l’éloquence de Cromwell. —Première époque toute politique. — Portrait de Bolingbroke. — Windbam ; Walpole Pultency. — Citations. — Résumé 
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Le LEÇON.
Unité du sujet dans cette leçon. — William Pitt. — Détails sur son éducation et sa jeunesse. — Caractère de son éloquence ; sa lutte contre Walpole. — Vie parlementaire de William Pitt. — Ministre en 1756, et de nouveau en 1757. — Exemple d’une élévation indépendante de l’aristocratie et de la cour. — Glorieuse administration de William Pitt. — Sa retraite. — Fermeté de ses principes. — Refuse plusieurs fois le ministère. — Rentre dans les affaires en 1766. — Est créé lord et vicomte de Chatam. — Courte durée de son ministère. — Son opposition aux rigueurs exercées contre les colonies d’Amérique. — Sa haute prévoyance. — Ses discours aux différentes époques de la guerre d’Amérique. — Ses dernières paroles à la chambre des pairs. — Sa mort. — Honneurs rendus à sa mémoire. — Parallèle de cette mort d’un grand ministre dans un état libre, avec celles de Richelieu et de Mazarin 
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LIe LEÇON.
Orateurs contemporains de lord Chatam. —Importance des événements ; vivacité des débats. – Monuments de cette époque. Comment on peut les étudier. — Burke. Détails sur le début de sa carrière et sur sa fortune politique. — Éloquence irlandaise. — Fox, fils de lord Holland, et Pitt, fils de lord Chatam. — Éducation de Fox ; sa jeunesse ; son début dans le parlement. — Opposition contre lord North. — Wilkes ; Burke ; Fox : citations comparées. – Éducation de Pitt. — Lettres que lord Chatam lui écrit sur ses études ; réflexions à ce sujet. — Commencement de la lutte entre Fox et Pitt. – Élévation prématurée de Pitt 
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LIIe LEÇON.
Encore l’éloquence politique. — Intérêt et difficulté de cet examen. — Étude simultanée de l’éloquence et de la constitution anglaise. – Science politique de Pitt ; principe de son éloquence. — Son attachement aux lois de son pays. — Nouveaux détails sur le bill des Indes. — Victoire légale de Pitt. — Autre débat célèbre sur la Régence. — Citations comparées des discours de Pitt et de Fox. — Exemple mémorable de la force de la constitution britannique. — Faiblesse de la monarchie de France à la même époque. — Première tentative de réforme. — Mirabeau. — Puissance irrésistible de la révolution 
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LIIIe LEÇON.
Considérations sur le caractère général de l’assemblée constituante. — Faux point de vue des contemporains ; grandeur réelle de l’assemblée. — Mélange d’abstractions et d’activité toute-puissante. — Différence de cette assemblée et du parlement britannique de 1640 et de 1688. — Prédominance de Mirabeau, et pourquoi ? — Trait distinctif de sa politique. — Principaux débats auxquels il prend part. — Victoires de son éloquence. — Tâche impossible qu’il entreprend ; sa mort. — Dernières réflexions 
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LIVe LEÇON.
Modération et affaiblissement de l’assemblée constituante. — Mirabeau non remplacé. — Caractère de la parole dans les assemblées qui suivirent. — Traits distinctifs de quelques orateurs. — Brièveté de cet examen. — Considérations nouvelles sur l’Angleterre, par rapport aux troubles civils de la France. — Situation des partis politiques anglais ; comment ils furent affectés par la révolution française. — Explication de la conduite de Pitt. — Germes de division dans le parti whig. — Burke, Sheridan, Fox. — Premiers signes de dissentiment. — Débat mémorable ; rupture solennelle entre Fox et Burke. — Conséquences de cet événement 
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LVe LEÇON.
Influence de la constitution politique sur l’éloquence judiciaire. —Éloquence judiciaire des Anglais. — Motifs de cet examen. —Procès politiques portés devant la chambre des lords. — Affaire de Hastings, gouverneur de l’Inde. — Discours de Sheridan à la chambre des communes pour appuyer l’accusation. — Formes de la poursuite. — Discours de Sheridan et de Burke devant la chambre des lords. — Procès civils et criminels devant le jury. — Erskine. — Esquisse de ses opinions et de sa vie 
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LVIe LEÇON.
Digression apologétique. — Quelques détails encore sur les procès politiques. — Circonstances du procès de lord Melville. — Caractère du barreau anglais. — Causes principales plaidées par Erskine devant le jury. — Alliance remarquable, dans cet orateur, de l’esprit de liberté et du sentiment religieux. — Sa défense des Droits de l’homme de Thomas Payne. — Son accusation contre l’Age de raison du même auteur. — Autre procès de la liberté de la presse. — Affaire de Napoléon contre Pelletier. — Mackintosh, avocat de Pelletier. — Portrait de cet orateur célèbre. — Citation. — Résultat du procès 
 241
LVIIe LEÇON.
Dernières considérations sur l’éloquence politique des Anglais. — Côté moral de cette éloquence. — Influence de la tribune sur le progrès social et le triomphe des principes de tolérance et d’humanité. — Abolition de la traite des noirs. — Rôle de M. Pitt dans cette grande question. — Commencement de l’émancipation catholique. — Autre point de vue sous lequel apparaît M. Pitt. — Sa situation et son caractère dans la grande guerre de l’Europe. — Sa retraite momentanée des affaires. — Sa rentrée au pouvoir ; sa mort. — Courte administration de M. Fox. — Disparition successive des hommes les plus célèbres du parlement 
 274
LVIIIe LEÇON.
Retour à la littérature française. — Nouveau caractère qu’elle reçoit de la révolution. — Son rôle dans nos troubles civils. — Les deux Chénier. — Détails sur leurs premières années. — Dissentiment des deux frères. — Mort d’André Chénier. — Justification de son frère. — Talent neuf et original d’André Chénier. — Ses principaux essais. — Caractère distinctif de sa poésie 
 308
LIXe LEÇON.
Influence de la révolution sur la littérature. — Causes et durée de cette influence. — Caractère littéraire de Chénier. Ses tragédies. — De l’inspiration immédiate des événements ; en quoi trompeuse parfois. — Seconde époque de la vie et du talent de Chénier. — Sa tragédie officielle de Cyrus. — Sa situation sous l’empire. — Ses derniers ouvrages plus énergiques et plus vrais. — Sa tragédie de Tibère. — Beautés de cet ouvrage. — Graves objections. — Résumé 
 334
LXe LEÇON.
État des lettres dans les années qui suivirent la révolution. — Entrave au mouvement des esprits. — Littérature critique et traditionnelle. — Travail remarquable de Chénier sur cette époque. — Talents originaux diversement influencés par le souvenir de la révolution. — Madame de Staël. — M. de Maistre. — Traits généraux du caractère et du talent de madame de Staël. — Ses premières années. — Supériorité de son génie. — But élevé de tous ses ouvrages. — Sa lutte contre l’esprit despotique de l’empire 
 361
LXIe LEÇON.
Caractère politique de l’ouvrage de madame de Staël sur l’Allemagne. — En quoi opposé au despotisme. — Perfectibilité sociale plus vraie que la perfectibilité littéraire. — Les Considérations sur la révolution française. — Du reproche de partialité fait à cet ouvrage. — Grandes beautés historiques. — Sagacité politique. — Élévation du sentiment moral. — De la doctrine opposée. M. de Maistre. — Liaison systématique de ses livres. — Les Soirées de Saint-Pétersbourg. — Jugement sur cet ouvrage 
 390
LXIIe LEÇON.
Examen des doctrines politiques de M. de Maistre. — Publicistes théocratiques sous l’empire ; événements qui favorisaient leur théorie. — Le livre du Pape ; côté faible de cet ouvrage ; défaut de sérieux et de foi. — Réflexions sur le talent de l’auteur. — Résumé sur la littérature du commencement de ce siècle dans ses rapports avec l’âge précédent, soit qu’elle le répète, le continue ou le combatte. — Esquisse sommaire des principales productions ; caractère des nouveaux talents. — Conclusion du Cours 
 416


FIN DE LA TABLE.