TABLE ANALYTIQUE
DES MATIÈRES CONTENUES DANS CE VOLUME.
PREMIÈRE LEÇON.
Pages.
IIe LEÇON.
Réponse à une accusation. — Recherches philologiques. — Premières causes de corruption pour la langue latine. — Innovations grammaticales d’Auguste. — Tendance progressive des idiomes. — Réfutation de l’opinion que la langue italienne soit un ancien patois du latin. — Causes diverses de l’extension et de l’altération de l’idiome latin. — Influence de la conquête et de la religion. — Influence des barbares. — Exemples nombreux des variations subies par les mots. — Naissance d’un idiome moderne. — Sa forme multiple ; doutes soumis à M. Raynonard. — Premiers monuments de la langue romane
IIIe LEÇON.
Innovations grammaticales de la langue vulgaire. — Les articles ; l’emploi des verbes auxiliaires. Détails à cet égard. — Littérature latine contemporaine du développement de la langue romane. — Caractères de ces deux civilisations, presque étrangères l’une à l’autre. — Poésies des troubadours au commencement du xiie siècle. — Guillaume, duc d’Aquitaine ; Bernard de Ventadour. — Quelques mots sur Bertran de Born. Traduction d’un de ses chants guerriers. — Liberté hardie de la plupart des troubadours
430 TABLE ANALYTIQUE.
tV LEÇON.
p.a.gt’s.
Sources étrangères de la jMésie provençale; digression à ce sujet.
Quelques traces du souvenir de l’antiquité, mais surtout
imitation de la poésie arabe. Double influence du génie
oriental sur l’Europe, par les deux moyens les phM opposes.
Civilisation des chrétiens, d’abord moins adonnée aux arts
que celle des Arabes. Splendeur <tes Maures d’Espagne; leur
ascendant sur l’imagination des méridionaux; détails à cet
égard. Caractère de leur poésie. Ses ressemblances avec
la poésie des ~oxtfy~Kr. citations, rapprochements 127
V LEÇON.
Caractère général de la poésie romane. Difficulté de la traduire.
Combien elle diffère de la poésie moderne. -Genres
qui lui ont manqué. Grand nombre et uniformité de ses
poëtes. Encore Bertram de Born. Citation remarquable.
Événements politiques où furent mtlés les ~’OK&OH~;
les croisades. Double point de vue à cet égard. Anecdotes
diverses. Pea de troubadours présents à la guerre
sainte. Chants de quelques-uns d’entre eux. /t:F~rd
C’a’Mr-~e-~ton; sa complainte. <60
Vf LEÇON.
tilité historique de la poésie provençale. –Liberté extraordinaire
dont elle est la preuve et l’expression. Chant de Sordello
sur la mort de ~hf«.<. Poésie satirique des /rfM~ftoM~,
inférieure à leur poésie amoureuae. Vie heureuse
et douce imagination du Midi, troublées tout à coup par une
horrible calamité. Innocent Ill. Hérésie des Albigeois;
leurs prières en langue vulgaire. Causes de la croisade
contre les Albigeois. Son influence sur le génie méridional.
Chant de vengeance et de haine contre Rome. t9(]
VU’ LEÇON.
Nouveaux détails sur l’idiome de la France septentrionale.
Comment l’influence allemande y laissa peu de traces. Faits
historiques. Quelques débris du roman <Mf//o/< aux vtH’ et
!X’ sicelei. ModiNeation apportée par les Normands. Ca-
ractère distinct et dévetoppemcnt de cet idiome au xf siècle.
Conquête de Guillaume. Premiers écrivains normands;
Robert ~yce. Commencement de la )ittérature chevalercsque.
Ses trois grandes divisions romans de fAxr/eH«7~<e,
de la ?’~e-/fo/<~e et des ~d~ 237
VIIIe LEÇON.
RéaUtë de la chevalerie, fidèlement décrite dans les romans du
moyen âge. Éducation et devoirs des ch~vaiiers. Fabliau
de Saladin, ordonné chevalier. Cour de Philippe-Auguste.
Grand nombre des productions littéraires. Chrétien de
ï’fo)-e. ses principaux poèmes. Commencement de )a prose
française.– ~7/(!a;~<,b<tM; sa langue et son stytc. 27
IXe LEÇON.
Richesse de la poésie des /o;«’e/t aux XH’ et xm" siècles.
Caractère des fabliaux. Romans historiques. Roman du
67~e/i de C’oKc~ et de la Dame de ~f7~’e/, citations.–Poésies
de 77i<&<H~, comte de Champagne. VoMM~e. Rare
mérite de son ouvrage 305
Xe LEÇON.
Résumé général sur le xiiie siècle. Grands hommes de cette
époque ; mouvement général des esprits. Influence de la
France sur l’imagination ; trois mythologies nouvelles. – Paris,
rendez-vous scientuique. — Italiens célèbres venus à Paris. —
Ouvrage écrit en français par Brunetto Latini. Influence
des Provençaux sur l’Itatie ; détails à cet égard. Premiers
essais de poésie sicilienne. Poésies italiennes de la fin du
xni’’siec)e. – Précurseurs du Dante. – Quelques circonstances
de la vie du Dante. Ses études ; son caractère ; son génie 337
XIe LEÇON.
Essence du poëme épique ; il doit renfermer toute la science
d’un temps. Caractère de la Bible et des poëmes homériques ;
impossibilité de cette épopée encyclopédique dans les
temps modernes. — Parallèle entre les Ages successifs de l’antiquité
et ceux des temps modernes ; âge divin, âge héroïque.
TABLE ANALYTIQUE
Pages.
Fausse analogie entre l’<t~e héroïque de l’antiquité et le
Hto~-e/t << –Scienct du moyen âge, contraire à la naïveté
primitive. Élément! poétiques de cette même époque.
Imagination du Dante. Sa Yita. /tMOt’<t.–Considérations sur
la Divina CoHtMedM 374
XH’ LEÇON.
Unité de la ~tt~/tft Co)t)M)e<’tO’. Sous quelques rapports, elle
offre le caractère des grands poëmes anciens. Elle renferme
toute l’histoire, toute la science toute la poésie du temps.
Situation de l’Italie. Dessein patriotique du poète. Caractère
de sa théologie. Sublimité et variété de sa poésie.
Résumé sur le génie et t’influence du Dante. ~ioi
FIN DE LA TABLE.
TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES CONTENUES DANS CE VOLUME.
XIIIe LEÇON.
Pages.
Limites de ces études sur la littérature italienne. — Réponse à une objection. — Fra Jacopone. — Princes protecteurs des lettres en Italie. — Rôle important des orateurs et des poëtes. — Renaissance de la littérature latine. — Pétrarque ; son couronnement au Capitole. — Rienzi. — Travaux et influence de Pétrarque. — Ses poésies en langue vulgaire
XIVe LEÇON.
Prose italienne du xive siècle. — Historiens habiles de Florence ; Jean Villani ; comment il diffère de Froissard. — Boccace à la cour de Naples. — Jeanne de Naples ; ses vicissitudes. — Travaux érudits de Boccace. — Ses écrits en langue vulgaire
XVe LEÇON.
Romanzo espagnol ; comment dérivé du latin. — Longue influence de la langue latine en Espagne. — Vieux monuments de la poésie castillane. — Vers d’Alphonse le Sage. — Fragment d’un poëme du Cid. — Romances du Cid
XVIe LEÇON.
Caractère surtout historique de la vieille poésie castillane. — Romance du roi Rodrigue. — Nouvelles observations sur le Romancero du Cid. — Poésies morales. — Don Santo Rabby. — L’esprit religieux de l’Espagne au moyen âge, moins intolérant que dans la suite. — Légendes versifiées. — Prose castillane. — Don Juan Manoël. — Le chroniqueur Ayala
XVIIe LEÇON.
Situation de la France au xive siècle. — Progrès politique des esprits ; importance nouvelle du tiers état. — Poésie satirique ; le Roman de la Rose. — Influence des événements sur le talent historique. — Froissard ; ses premières occupations ; sa vie errante ; détails tirés de ses poésies. — Composition de ses chroniques. — En quoi plus vrai que les historiens de l’antiquité. — Sa manière de peindre
XVIIIe LEÇON.
Étude nécessairement simultanée de l’Angleterre et de la France au moyen âge. — Faible influence de la civilisation romaine sur l’Angleterre. — Race teutonique incessamment renouvelée. — Efforts de Guillaume le Conquérant pour faire prévaloir l’idiome français en Angleterre. — Résistance de la langue nationale. — Monuments de cette langue au xiie siècle. — Poésies des ménestrels. — Chants populaires. — Robin Hood. — Imitation de nos romans et de nos fabliaux. — Imitation de l’Italie. – Chaucer ; de lui et de ses ouvrages
XIXe LEÇON.
Nouveaux détails sur la poésie anglaise au xive et au xve siècle. – Poëtes érudits : Gower. – Ménestrels. — Médiocrité de toute cette poésie. — Imitation moderne du vieux style anglais ; essais pseudonymes de Chatterton. — Caractère de la poésie française au commencement du xve siècle. — Charles d’Orléans. — Reproduction artificielle de notre vieille poésie ; Clotilde de Surville
XXe LEÇON.
Suite de la poésie française. — De la chute et de la renaissance de l’art dramatique. — Premiers essais de la religieuse Hroswithe, dès le xie siècle. — De l’origine des Mystères. — Idée de ce genre d’ouvrages. — Soties, Moralités. – Le Savetier. – L’Avocat Pathelin
XVIIe LEÇON.
Situation de la France au xive siècle. — Progrès politique des esprits ; importance nouvelle du tiers état. — Poésie satirique ; le Roman de la Rose. — Influence des événements sur le talent historique. — Froissard ; ses premières occupations ; sa vie errante ; détails tirés de ses poésies. — Composition de ses chroniques. — En quoi plus vrai que les historiens de l’antiquité. — Sa manière de peindre
XVIIIe LEÇON.
Étude nécessairement simultanée de l’Angleterre et de la France au moyen âge. — Faible influence de la civilisation romaine sur l’Angleterre. — Race teutonique incessamment renouvelée. — Efforts de Guillaume le Conquérant pour faire prévaloir l’idiome français en Angleterre. — Résistance de la langue nationale. — Monuments de cette langue au xiie siècle. — Poésies des ménestrels. — Chants populaires. — Robin Hood. — Imitation de nos romans et de nos fabliaux. — Imitation de l’Italie. – Chaucer ; de lui et de ses ouvrages
XIXe LEÇON.
Nouveaux détails sur la poésie anglaise au xive et au xve siècle. – Poëtes érudits : Gower. – Ménestrels. — Médiocrité de toute cette poésie. — Imitation moderne du vieux style anglais ; essais pseudonymes de Chatterton. — Caractère de la poésie française au commencement du xve siècle. — Charles d’Orléans. — Reproduction artificielle de notre vieille poésie ; Clotilde de Surville
XXe LEÇON.
Suite de la poésie française. — De la chute et de la renaissance de l’art dramatique. — Premiers essais de la religieuse Hroswithe, dès le xie siècle. — De l’origine des Mystères. — Idée de ce genre d’ouvrages. — Soties, Moralités. – Le Savetier. – L’Avocat Pathelin
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TABLE ANALYTIQUE
DES MATIÈRES CONTENUES DANS CE VOLUME.
XLVIIIe LEÇON.
Pages.
Considérations générales sur l’éloquence politique. – Caractère particulier de l’éloquence politique chez les modernes, et surtout en France. — En quoi diffère de la tribune antique. — La Grèce. — Rome. – Puissance de l’improvisation. — Exemple rapporté par Cicéron. — Vie périlleuse des orateurs. — Admirable peinture qu’en fait Cicéron. — Cet état presque habituel de la république romaine se retrouve dans nos troubles civils. — Une séance du sénat romain. — Caractère politique de l’éloquence chrétienne dans les premiers siècles. — Résumé
XLIXe LEÇON.
L’éloquence politique placée moins haut par Cicéron que l’éloquence judiciaire. Pourquoi ? — Rare et tardive chez les modernes. — Elle n’a longtemps d’autre asile que les conciles. — Anciens états généraux de France. — Parlement d’Angleterre. — Vicissitudes de la constitution anglaise. — Époques diverses du parlement. — Époques scolastique et religieuse. — De l’éloquence de Cromwell. —Première époque toute politique. — Portrait de Bolingbroke. — Windbam ; Walpole Pultency. — Citations. — Résumé
Le LEÇON.
Unité du sujet dans cette leçon. — William Pitt. — Détails sur son éducation et sa jeunesse. — Caractère de son éloquence ; sa lutte contre Walpole. — Vie parlementaire de William Pitt. — Ministre en 1756, et de nouveau en 1757. — Exemple d’une élévation indépendante de l’aristocratie et de la cour. — Glorieuse administration
de William Pitt. — Sa retraite. — Fermeté de ses principes. — Refuse plusieurs fois le ministère. — Rentre dans les affaires en 1766. — Est créé lord et vicomte de Chatam. — Courte durée de son ministère. — Son opposition aux rigueurs exercées contre les colonies d’Amérique. — Sa haute prévoyance. — Ses discours aux différentes époques de la guerre d’Amérique. — Ses dernières paroles à la chambre des pairs. — Sa mort. — Honneurs rendus à sa mémoire. — Parallèle de cette mort d’un grand ministre dans un état libre, avec celles de Richelieu et de Mazarin
LIe LEÇON.
Orateurs contemporains de lord Chatam. —Importance des événements ; vivacité des débats. – Monuments de cette époque. Comment on peut les étudier. — Burke. Détails sur le début de sa carrière et sur sa fortune politique. — Éloquence irlandaise. — Fox, fils de lord Holland, et Pitt, fils de lord Chatam. — Éducation de Fox ; sa jeunesse ; son début dans le parlement. — Opposition contre lord North. — Wilkes ; Burke ; Fox : citations comparées. – Éducation de Pitt. — Lettres que lord Chatam lui écrit sur ses études ; réflexions à ce sujet. — Commencement de la lutte entre Fox et Pitt. – Élévation prématurée de Pitt
LIIe LEÇON.
Encore l’éloquence politique. — Intérêt et difficulté de cet examen. — Étude simultanée de l’éloquence et de la constitution anglaise. – Science politique de Pitt ; principe de son éloquence. — Son attachement aux lois de son pays. — Nouveaux détails sur le bill des Indes. — Victoire légale de Pitt. — Autre débat célèbre sur la Régence. — Citations comparées des discours de Pitt et de Fox. — Exemple mémorable de la force de la constitution britannique. — Faiblesse de la monarchie de France à la même époque. — Première tentative de réforme. — Mirabeau. — Puissance irrésistible de la révolution
LIIIe LEÇON.
Considérations sur le caractère général de l’assemblée constituante. — Faux point de vue des contemporains ; grandeur réelle de l’assemblée. — Mélange d’abstractions et d’activité toute-puissante. — Différence de cette assemblée et du parlement britannique de 1640 et de 1688. — Prédominance de Mirabeau, et pourquoi ? — Trait distinctif de sa politique. — Principaux débats auxquels il prend part. — Victoires de son éloquence. — Tâche impossible qu’il entreprend ; sa mort. — Dernières réflexions
LIVe LEÇON.
Modération et affaiblissement de l’assemblée constituante. — Mirabeau non remplacé. — Caractère de la parole dans les assemblées qui suivirent. — Traits distinctifs de quelques orateurs. — Brièveté de cet examen. — Considérations nouvelles sur l’Angleterre, par rapport aux troubles civils de la France. — Situation des partis politiques anglais ; comment ils furent affectés par la révolution française. — Explication de la conduite de Pitt. — Germes de division dans le parti whig. — Burke, Sheridan, Fox. — Premiers signes de dissentiment. — Débat mémorable ; rupture solennelle entre Fox et Burke. — Conséquences de cet événement
LVe LEÇON.
Influence de la constitution politique sur l’éloquence judiciaire. —Éloquence judiciaire des Anglais. — Motifs de cet examen. —Procès politiques portés devant la chambre des lords. — Affaire de Hastings, gouverneur de l’Inde. — Discours de Sheridan à la chambre des communes pour appuyer l’accusation. — Formes de la poursuite. —
Discours de Sheridan et de Burke devant la chambre des lords. — Procès civils et criminels devant le jury. — Erskine. — Esquisse de ses opinions et de sa vie
LVIe LEÇON.
Digression apologétique. — Quelques détails encore sur les procès politiques. — Circonstances du procès de lord Melville. — Caractère du barreau anglais. — Causes principales plaidées par Erskine devant le jury. — Alliance remarquable, dans cet orateur, de l’esprit de liberté et du sentiment religieux. — Sa défense des Droits de l’homme de Thomas Payne. — Son accusation contre l’Age de raison du même auteur. — Autre procès de la liberté de la presse. — Affaire de Napoléon contre Pelletier. — Mackintosh, avocat de Pelletier. — Portrait de cet orateur célèbre. — Citation. — Résultat du procès
LVIIe LEÇON.
Dernières considérations sur l’éloquence politique des Anglais. — Côté moral de cette éloquence. — Influence de la tribune sur le progrès social et le triomphe des principes de tolérance et d’humanité. — Abolition de la traite des noirs. — Rôle de M. Pitt dans cette grande question. — Commencement de l’émancipation catholique. — Autre point de vue sous lequel apparaît M. Pitt. — Sa situation et son caractère dans la grande guerre de l’Europe. — Sa retraite momentanée des affaires. — Sa rentrée au pouvoir ; sa mort. — Courte administration de M. Fox. — Disparition successive des hommes les plus célèbres du parlement
LVIIIe LEÇON.
Retour à la littérature française. — Nouveau caractère qu’elle reçoit de la révolution. — Son rôle dans nos troubles civils. — Les deux Chénier. — Détails sur leurs premières années. — Dissentiment des deux frères. — Mort d’André Chénier. — Justification de son frère. — Talent neuf et original d’André Chénier. — Ses principaux essais. — Caractère distinctif de sa poésie
LIXe LEÇON.
Influence de la révolution sur la littérature. — Causes et durée de cette influence. — Caractère littéraire de Chénier. Ses tragédies. — De l’inspiration immédiate des événements ; en quoi trompeuse
parfois. — Seconde époque de la vie et du talent de Chénier. — Sa tragédie officielle de Cyrus. — Sa situation sous l’empire. — Ses derniers ouvrages plus énergiques et plus vrais. — Sa tragédie de Tibère. — Beautés de cet ouvrage. — Graves objections. — Résumé
LXe LEÇON.
État des lettres dans les années qui suivirent la révolution. — Entrave au mouvement des esprits. — Littérature critique et traditionnelle. — Travail remarquable de Chénier sur cette époque. — Talents
originaux diversement influencés par le souvenir de la révolution. — Madame de Staël. — M. de Maistre. — Traits généraux du caractère et du talent de madame de Staël. — Ses premières années. — Supériorité de son génie. — But élevé de tous ses ouvrages. — Sa lutte contre l’esprit despotique de l’empire
LXIe LEÇON.
Caractère politique de l’ouvrage de madame de Staël sur l’Allemagne. — En quoi opposé au despotisme. — Perfectibilité sociale plus vraie que la perfectibilité littéraire. — Les Considérations sur la révolution française. — Du reproche de partialité fait à cet ouvrage. — Grandes beautés historiques. — Sagacité politique. — Élévation du sentiment moral. — De la doctrine opposée. M. de Maistre. — Liaison systématique de ses livres. — Les Soirées de Saint-Pétersbourg. — Jugement sur cet ouvrage
LXIIe LEÇON.
Examen des doctrines politiques de M. de Maistre. — Publicistes théocratiques sous l’empire ; événements qui favorisaient leur théorie. — Le livre du Pape ; côté faible de cet ouvrage ; défaut de sérieux
et de foi. — Réflexions sur le talent de l’auteur. — Résumé sur la littérature du commencement de ce siècle dans ses rapports avec l’âge précédent, soit qu’elle le répète, le continue ou le combatte. — Esquisse sommaire des principales productions ; caractère des nouveaux talents. — Conclusion du Cours
FIN DE LA TABLE.