Livre:Pougin - Acteurs et actrices d’autrefois, Juven.djvu
Titre | Acteurs et actrices d’autrefois |
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Sous-titre | Histoire anecdotique des théâtres à Paris depuis trois cents ans |
Auteur | Arthur Pougin |
Maison d’édition | F. Juven et Cie |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | [1896] |
Bibliothèque | Internet Archive |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Pages
TABLE DES MATIÈRES
{{table|titre= Paris se couvre de théâtres, à la suite du décret établissant la liberté absolue de l’industrie théâtrale. — Liste complète de tous ceux fondés à cette époque. Les plus importants sont les théâtres Montansier, Louvois, du Marais, de la Cité, du Vaudeville, des Jeunes-Artistes, etc. — La Comédie-Française pendant la Révolution. Elle disparait par suite de l’emprisonnement en masse de ses artistes. — Talma et le théâtre de la République. — Reconstitution de la Comédie. — Lutte artistique du théâtre Favart (ex-Comédie-Italienne) avec le théâtre Feydeau. — Fusion de l’un et de l’autre en une scène unique sous le nom d’Opéra-Comique. — Le gouvernement impérial rétablit le régime des privilèges, et d’un trait de plume supprime une douzaine de théâtres. — Situation brillante, sous l’Empire, de l’Opéra, de la Comédie-Française et de l’Opéra-Comique|page= 80}}
{{table|titre= Situation désastreuse faite aux théâtres par la Révolution de 1848. — Après cette crise, la littérature dramatique prend tout à coup un essor superbe, grâce aux œuvres d’Émile Augier, Alexandre Dumas fils. Octave Feuillet et George Sand. — Le Vaudeville et le Gymnase abandonnent les pièces à couplets pour le drame intime et la comédie de genre. Personnel remarquable de ces deux théâtres. — Situation artistique de la Comédie-Française, de l’Opéra, de l’Opéra-Comique, du Théâtre-Lyrique et du Théâtre-Italien. Décadence et bientôt disparition de ce dernier. — Les Folies-Nouvelles et les Bouffes-Parisiens. Naissance de l’opérette. Elle se répand de toutes parts. — La seconde liberté des théâtres : décret de 1864, qui fait naître plusieurs scènes nouvelles, le théâtre Saint-Germain (Cluny), le Grand-Théâtre-Parisien, les Fantaisies-Parisiennes, le Cirque du Prince-Impérial, le théâtre Rossini, le théâtre des Menus-Plaisirs, l’Athénée, etc. D’autres théâtres encore se fondent après 1871 : la Renaissance (deuxième), le théâtre Taitbout, les Bouffes-du-Nord, les Nouveautés, l’Éden. — L’opérette continue de fleurir et de s’épanouir, aux dépens de l’opéra-comique, du drame et du vaudeville. — Situation actuelle des théâtres, comparée â ce qu’elle était il y a cinquante ans. — Les artistes d’aujourd’hui. Ils n’ont rien à envier à leurs devanciers, et la supériorité de nos comédiens reste éclatante et incontestée|page= 231}}
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Roger 226 Mocker dans Polichinelle 227 Mademoiselle Pauline Garcia 229 Fechter dans la Dame aux camélias 233 Bressant dans don Carlos (VHernani 235 Rose Chéri dans Madame de Cérif/ni ; 237 Got ’ 210 Marictta Alboni 212 Madame Rose Caron dans Salammbô 213 Faure . , . • 245 Madame Ugalde 246 Mademoiselle Adelina Patti 218 Tamberlick 252