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Livre:Hugo - Œuvres inédites, v. 2.djvu

TitreŒuvres inédites Voir l'entité sur Wikidata
Sous-titreDeuxième édition
VolumeToute la Lyre I
AuteurVictor Hugo Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionHetzel ; Quantin
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1888
BibliothèquePrinceton University
Fac-similésdjvu
AvancementÀ corriger
SérieVolume 1 - Volume 2 - Volume 3 - Volume 4 - Volume 5 - Volume 6 - Volume 7 - Volume 8

Pages

Pages.
Aie une muse belluaire 
 1
LES SEPT CORDES
I
I. 
L’échafaud 
 9
II. 
Talaveyra 
 29
III. 
Les deux cotés de l’horizon 
 33
IV. 
Bourgeois parlant de Jésus-Christ 
 37
V. 
J’ai vu, pendant trois jours de haine et de remords 
 39
VI. 
Écrit sur un livre du jeune Michel Ney 
 41
VII. 
La sonnette de Louis XIV 
 43
VIII. 
Le marabout prophète 
 45
IX. 
Le calife a puni les gens de la montagne 
 49
X. 
Les mères ont senti tressaillir leurs entrailles 
 51
XI. 
Le passage des êtres sombres 
 53
XII. 
Le cheik et le vole r 
 57

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XI. 
 
 195
XII. 
A Paul M 
 197
XIII. 
Visions 
 199
XIV. 
Origine des dieux 
 205
XV. 
Les écrivains sont tous plus ou moins des démons 
 209

{{table|section= XVI. En sortant d’une église 213 {{table|section= XVII. Contemplation. — Consolation 215 {{table|section= XVIII. Une nuit je rêvais, et je vis dans mon rêve 217 {{table|section= XIX. Je rêve une nature innocente et meilleure….. 221 {{table|section= XX. Dans le cimetière de *** 223 {{table|section= XXI. Oh ! dis 1 pourquoi toujours regarder sous la terre.. 225 {{table|section= XXII. Inscription de sépulcre. 229 {{table|section= XXill. Sombres aboyeurs des ténèbres . 233 {{table|section= XXIV. Ombre 235 {{table|section= XXV. Lumière 2â7

IV
I. 
Autrefois, dans les temps de la lumière pure 
 257
II. 
A un poëte 
 259
III. 
Honte au vain philosophe, à l’artiste inutile 
 261
IV. 
A un grand comédien 
 263
V. 
Lorsque j’étais enfant, sortant de rhétorique 
 267
VI. 
L’hexamètre, pourvu qu’en rompant la césure 
 271
VII. 
Doux poëtes, chantez ! Dans vos nids, sous la feuille 
 273
VIII. 
Écoutez la voix touchante 
 275
IX. 
Pour nous, nouveaux venus qui voyons l’astre éclore 
 277
X. 
Bonheur d’admirer 
 279
XI. 
A propos d’une grille de bon gout 
 281
XII. 
Shakspeare, s’échappant au milieu des huées 
 287
XIII. 
Les instruments sont pleins de la voix du mystère 
 289
XIV. 
Dans le monde meilleur que rêve mon caprice 
 291
XV. 
Fragment de lettre 
 293
XVI. 
Le rire 
 295
XVII. 
Bibliothèques 
 297
XVIII. 
La nature, éternelle mère 
 301
XIX. 
Thiers railla Mazzini, Pitt raille Washington 
 303
XX. 
Les guides 
 309
XXI. 
Danger des sommets 
 313
XXII. 
Qui que tu sois, esprit, génie 
 317
XXIII. 
Pourquoi les grands hommes sont malheureux 
 321
XXIV. 
A Théophile Gautier 
 323
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