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Livre:Hugo - Œuvres inédites, v. 4.djvu

TitreŒuvres inédites Voir l'entité sur Wikidata
Sous-titreDernière série
VolumeToute la Lyre
AuteurVictor Hugo Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionHetzel ; Quantin
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1893
BibliothèquePrinceton University
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SérieVolume 1 - Volume 2 - Volume 3 - Volume 4 - Volume 5 - Volume 6 - Volume 7 - Volume 8

Pages

LES SEPT CORDES
I
Pages.
I. 
La vision des montagnes 
 5
II. 
Quand Auguste mourut, Rome, donnant l’exemple 
 9
III. 
Du songe universel notre pensée est faite 
 11
IV. 
Les Évangélistes 
 13
V. 
Le Campéador, l’homme honnête et sans ennui 
 15
VI. 
La mélancolie du vidame 
 17
VII. 
La bossue 
 19
II
I. 
Le Nuage 
 25
II. 
Nuit tombante 
 27
III. 
Nuit, tu me fais l’effet, ce soir, ô nuit glacée 
 29
IV. 
La fin des mondes 
 31
V. 
Arrivée au gite 
 33
III
I. 
Le Calcul 
 37
II. 
Le philosophe pleure, aime, intercède, prie 
 47
III. 
Qui te dit que le monde, étant un noir vivant 
 51
IV. 
Ah ! la philosophie est vorace ! il lui faut 
 53
V. 
Qui donc passe au-dessus de nous, ô Dieu de l’ombre 
 57
VI. 
Ceux par qui le malheur sur les innocents tombe 
 59
VII. 
Y pensez-vous ? Pétât à l’église mêlé ! 
 61
VIII. 
La civilisation 
 63
IX. 
Braves gens, prenez garde aux choses que vous dites 
 65
X. 
Les Sages 
 67
IV
I. 
La chanson de Silène 
 71
II. 
Après un horizon un autre se révèle 
 73
III. 
Homère sous le poids du destin sombre expire 
 75
IV. 
L’expiation triste et le sort, nœud de fer 
 77
V. 
Quand le poète est las, ce grand esprit banni 
 79
VI. 
Quand tout un continent tremble au souffle électrique 
 81
VII. 
Aux heures où le ciel est noir, où l’astre est clair 
 83
VIII. 
Oh ! tandis que ce roi, brisant murs et palais 
 85
V
I. 
Ma chambre 
 89
II. 
Tu me dis ! Finis donc ton livre des Misères 
 91
III. 
Lettre de l’exilé 
 93
IV. 
Le couchant flamboyait à travers les bruines 
 97
V. 
Je vais dans la fureur du gouffre, dans l’écume 
 99
VI. 
Que te sert, ô Priam, d’avoir vécu si vieux 
 101
VI
I. 
Au bal 
 105
II. 
Au bois 
 107
III. 
La blanche Galatée aux lascives épaules 
 109
IV. 
Être aimé 
 111
V. 
Tous deux — est-ce à Tibur ? est-ce à Ville-d’Avray ? 
 113
VI. 
Le blasphème de l’amour 
 115
VII
I. 
Entre l’amante et l’ami 
 123
II. 
La chanson de Gacquoil le marin 
 127
III. 
Chaque siècle a le sien 
 129
IV. 
Mascaron 
 131
V. 
Boniment 
 133
LA CORDE D’AIRAIN
LES ANNÉES FUNESTES
1852-1870
I. 
Entrée au désert 
 137
II. 
En peuple était debout, et ce peuple était grand 
 139
III. 
Cæsar 
 141
IV. 
La mort de Saint-Arnaud 
V. 
Le mal du pays 
 155
VI. 
Le tirepoint 
 159
VII. 
Eh bien, allons ! mentant, pillant, volant, broyant 
 163
VIII. 
Bord de la mer 
 165
IX. 
Tenez, mon président, je vous le dis d’aplomb 
 167
X. 
L’empereur a Compiègne 
 169
XI. 
Amnistie 
 177
XII. 
Je ne désire pas la mort de Bonaparte 
 181
XIII. 
En plein dix-neuvième siècle 
 183
XIV. 
Mentana 
 193
XV. 
Après seize ans 
 209
XVI. 
Baudin 
 215
XVII. 
Lesurque 
 221
XVIII. 
En 1869 
 235
XIX. 
Aubin 
 237
XX. 
Misère 
 241
XXI. 
C’est bien, buvez, mangez, rampez, courbez la tête 
 245
XXII. 
Départ et retour des régiments 
 249
XXIII. 
L’Empire libéral 
 253
XXIV. 
A *** 
 255
XXV. 
On me dit : Courez donc sur Pierre Bonaparte 
 257
XXVI. 
Coups de clairon 
 259
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