Livre:Gasquet - Le Paradis retrouvé, 1911.djvu
| Titre | Le Paradis retrouvé |
|---|---|
| Auteur | Joachim Gasquet  |
| Maison d’édition | Bernard Grasset, Éditeur |
| Lieu d’édition | Paris |
| Année d’édition | 1911 |
| Bibliothèque | Internet Archive |
| Fac-similés | djvu |
| Avancement | À corriger |
Pages
Pages
Qui que tu sois, voici mon cœur 5
Prélude 9
Possidete paratum vobis regnum…
I. — Ouvre les yeux 19
II. — Sommeil d’Adam 21
III. — Éveil des hommes 26
IV. — Entrez dans mon cœur… 29
V. — Rêvé devant les usines de Düsseldorf 31
VI. — Maternité 47
VII. — La Guerre, dure amante aux voluptés épiques… 50
VIII. — Que me veut-on ? 52
IX. — Partout, dans le printemps, le grand rucher essaime… 56
X. — Le Printemps vient, l’abeille heureuse… 58
XI. — Oh ! qui peindra, jamais sur les murs de la salle… 60
XII. — Tentation 63
XIII. - Ève 67
XIV. — Mon royaume est bien de ce monde… 71
XV. — Paternité 74
XVI. — O mes frères, âmes paisibles… 76
XVII. — Tendres souffles, aussi, pollens, je vous adore… 78
XVIII. — Le Baiser 80
XIX. — Le Fruit 83
XX. — Tristesse de Dieu 86
XXI. — Le Figuier 87
XXII. — J’ai vu le jour rôder de clairière en clairière… 90
XXIII. — Le Voyage 93
XXIV. — La Gloire de Marseille 96
1. Le Paquebot 96
2. Hélène 99
3. Guitare 100
4. Minuit 102
5. Vision 104
6. Triomphe de Phocée 106
7. Sur le transbordeur 112
8. Concert classique 116
9. Marseillaise 119
10. Maintenant sur le port tombe le crépuscule 122
Tiens-toi à, ô mon âme.
XXV. — Au Peuple 127
XXVI. — Chanson d’Avril 142
XXVII. — Chanson de Mai 144
XXVIII. — L’Ombre 147
XXIX. — L’Ame 150
XXX. — L’Ebauche 153
XXXI. — Πἆν 155
XXXII. — Travail du monde 158
XXXIII. — La Caume 160
XXXIV. — La Fresque 162
XXXV. — Bible des pauvres 165
XXXVI. — Sommeil du pauvre 168
XXXVII. — Portrait 170
XXXVIII. — Prière du berger 172
XXXIX. — Prière de l’imagier 174
XL. — Beati 176
XLI. — Prière de Christophe Colomb 179
XLII. — Tristesse d’Adam 182
XLIII. — Ces pauvres désœuvrés… 196
XLIV. — Psaume 198
XLV. — Le Chantier 203
XLVI. — Dans les jardins de Varsovie… 212
XLVII. — O mort, tu peux venir… 216
XLVIII. — Fraternité 218
Fontlaure, 18 mars 1911.