TABLE DES MATIÈRES
CONTENUES DANS LE TOME SECOND.
LITTÉRATURE. — POÉSIE.
POÉSIE LATINE.
Virgile. — Géorgiques. — Étrange projet de l’abbé de Cournand de refaire la traduction de l’abbé Delille
Ovide. — Métamorphoses. — Traduction de Saintange. — Jugement sur la dernière édition
Fastes. — Définition de ce poëme. — Difficulté de le traduire. — Jugement sur la traduction de Saintange
Art d’Aimer. — Idée de ce poëme. — Jugement d’une traduction en prose par M. Masson de Saint-Amand
Remède d’Amour. — Tristes. — Pontiques. — Héroïdes, etc. — Jugemens sur ces différents poëmes
Juvénal. — Causes du discrédit où l’érudition est tombée en France. — Juvénal comparé à Horace et à Perse. — Examen de l’édition avec commentaires
Perse. — Discussion des jugements très divers dont il a été l’objet. — Examen de l’édition avec commentaires de M. Achaintre
Jean Second. — Poètes latins modernes. — Examen de ces deux questions : « Les modernes peuvent-ils bien écrire en latin ? Sont-ils bons juges de la latinité des anciens ? » Vie de Jean Second. — Ses ouvrages et particulièrement ses Baisers. — Traduction de ce dernier ouvrage
POÉSIE ITALIENNE.
Le Dante. — Jugement sur la Divine Comédie, et principalement sur l’Enfer. — Comparaison des différentes traductions de ce dernier poëme
POÉSIE FRANÇAISE
Charles d’Orléans. — Sa vie et sa personne. — Ses poésies. — Discussion au sujet des prétendues Poésies de Clotilde de Surville
Boileau. — Services qu’il a rendus à la poésie françoise par ses leçons et par ses exemples. — Examen de ses ouvrages et définition de leur mérite particulier. — Réfutation de quelques reproches qui lui ont été faits. Son caractère
La Fontaine. — Sa vie. — Son caractère. — Ce qu’il faut penser de ses distractions. — Ses habitudes et ses goûts. — Ses liaisons. — Travailloit-il aussi peu ses vers que quelques uns l’ont pensé ? — Son portrait physique et son portrait moral
J.-B. Rousseau. — Son caractère. — Sa lutte avec Lamotte. — Conjectures au sujet des fameux couplets qui lui ont été attribués. — Ses malheurs. — Ses torts. — Ses ouvrages
Gresset. — Son talent consiste principalement à reproduire avec fidélité les impressions qu’il a reçues des diverses
circonstances où il a été placé. — Revue de ses ouvrages considérés sous cet aspect. — Sa manière comme versificateur 233
Bernard. — Critique d’un essai sur sa vie et ses ouvrages, placé en tête d’une nouvelle édition de ses œuvres. — Quelques détails peu connus sur sa personne. — Jugement sur quelques uns de ses ouvrages posthumes
Bertin. — Comparé à Parny. — Jugement sur ses élégies et quelques autres opuscules. — Détails sur ses derniers instants
Pezai. — École de Dorat. — Pezai, son disciple le plus fidèle. — Anecdote sur sa personne. — Jugement sur ses ouvrages
Saint-Marc. — Autre disciple de Dorat. — Ses opéras et ses poésies fugitives. — Ses vers lus en 1778, sur le théâtre de la Comédie Françoise, au couronnement du buste de Voltaire
Venance. — Capucin et poète. — Sa vie extraordinaire et sa fin déplorable. — Analyse de sa Quête du Blé. — Il concourt pour le prix des Jeux Floraux. — Particularités à ce sujet
Lebrun. — Sa grande inégalité, cause de la différence extrême des jugemens portés sur lui. — Motifs qui l’ont fait attaquer avec une rigueur excessive par un critique distingué. — Sa défense contre ce qu’il y a d’injuste dans ces attaques. — Sa manière de concevoir l’ode. — Son système en fait de style et de versification
Réponse à quelques récriminations de M. Dassault, contre l’apologie qui précède
Campenon. — Caractère général de son talent. — Jugement sur son poëme de la Maison des Champs
Millevoye. — Histoire abrégée de l’élégie chez les anciens
et chez les modernes. Genre et mérite particulier des élégies de Millevoye 308
M. Baour de Lormian. — Vogue extraordinaire qu’ont eue les Nuits d’Young. — Jugement sur cet ouvrage, plusieurs fois traduit en vers françois. — Imitation abrégée qu’en a faite M. de Lormian
M. Creusé de Lesser. — Révolution opérée dans notre littérature et principalement dans notre poésie. — La chevalerie considérée dans sa réalité et sous son point de vue idéal. — Avantages des fictions chevaleresques. — Romans de chevalerie. — Jugement sur le poëme de la Table ronde
Chansonniers. — De Piis. — Despréaux. — Désaugiers. — Exactitude du style et richesse de la rime portées peut-être trop loin dans la chanson. — Abus des mots donnés. — Fatigante répétition des vieilles épigrammes en couplets, contre les diverses professions. — Chansons faites sous l’empire par ordre de la police
LITTÉRATURE. — ROMANS.
Origine du Roman. — Causes du plaisir que procure ce genre d’ouvrages. — La disposition la plus favorable pour la lecture des romans. — Ce sont les femmes qui en produisent et en consomment le plus. — Les qualités et les défauts qu’elles apportent dans ces compositions. — Rapports nombreux entre le roman et le genre dramatique
Les amours de Psyché et de Cupidon. — Origine de cette fable. — Sujets qu’elle a fournis à tous les arts. — Explications morales qui en ont été données. — Elle tient le milieu entre le merveilleux de la mythologie et celui de la féerie
Les Mille et Une Nuits. — Elles devoient naître chez un peuple conteur tel que les Arabes. — Elles sont encorela peinture fidèle des mœurs de l’Orient. — Elles contiennent des aventures qui ont fait le tour du globe, et qu’on retrouve dans toutes les littératures 372
Rabelais. — Anecdotes sur sa vie et sur sa mort, également cyniques et peu croyables pour la plupart. — Objet qu’il s’est proposé dans son roman. — Ce qu’on y voit le plus clairement est le mépris de la religion et de ses ministres. — Étonnante sécurité dans laquelle a vécu l’auteur de tant d’impiétés
Cervantes. — Sa vie aventureuse et infortunée. — Ses diverses productions. — Son portrait physique et moral. — Circonstances favorables dans lesquelles il a composé Don Quichotte. — Coup-d’œil sur la chevalerie, à propos des romans qu’elle fit naître, et dont celui de Cervantes est la satire. — Projet de l’auteur en attaquant ces productions extravagantes. — Reproche qu’il a essuyé à ce sujet. — Examen du roman de Don Quichotte, sous les rapports de l’invention, de la composition, des caractères, du costume et du style. — Ce chef-d’œuvre comparé à Tom Jones et à Gil Blas
Robinson Crusoé. — But de l’auteur. — Utilité du livre. — Éloge qu’en a fait J.-J.. Rousseau, dont les idées sur l’éducation ont beaucoup d’analogie avec la fable inventée par Daniel de Foe. — Charme particulier de l’ouvrage. — A quoi il est dû et quand il cesse. — Distinction entre les ouvrages d’imitation qui aspirent à faire illusion et ceux qui n’y prétendent pas
Séthos. — Ouvrage moins connu qu’il n’est digne de l’être. — En quoi il ressemble au Télémaque et en quoi il en diffère. — Il est à la fois un livre d’érudition et un livre de morale. — Idée du sujet. — Défauts de l’ouvrage. — Mérite particulier qui le caractérise
Agathoclès, ou Lettres écrites de Rome et de Grèce au commencement du quatorzième siècle. — Dernière luttedu paganisme vieilli contre le christianisme naissant. — Causes qui devoient faire triompher la religion du Christ. — Rapports extraordinaires entre ce roman et les Martyrs de M. de Chateaubriand. — Jugement sur le premier de ces ouvrages. — Vices des romans appelés historiques. 445
Madame de Maintenon, par Madame de Genlis. — Encore contre les romans historiques. — Madame de La Vallière et Madame de Maintenon, comparées comme héroïnes d’un roman. — Préférence donnée à l’une sur l’autre sous ce rapport. — Erreurs historiques commises par l’auteur. — Fautes plus graves contre le jugement et le goût
Corinne, par Madame de Staël. — Ce que l’auteur se propose dans ses romans, et les deux sortes de personnages qu’elle y met en jeu. — L’ouvrage, à la fois voyage et roman, jugé sous ces deux rapports. — Analyse du roman. — Examen des caractères. — Doctrines philosophiques et littéraires de Madame de Staël. — Son style
Mathide, par Madame Cottin. — Fond commun de tous les romans pathétiques. — Analyse de l’ouvrage. — Jugement sur l’action, sur les personnages et sur les pensées
FIN DE LA TABLE DU TOME SECOND
IMPRIMERIE ET FONDERIE DE J. PINARD,
RUE D’ANJOU-DAUPHINE, N°8, À PARIS