Lettres de Marie-Antoinette/Tome II/Lettre CCXLII

Lettres de Marie-Antoinette, Texte établi par Maxime de La Rocheterie [1837-1917], Alphonse Picard et FilsTome II (p. 145).

CCXLII.

Au comte de Mercy.
[1789, septembre.]

Vous voyez que je me corrige en vous renvoyant tout de suite la lettre de M. de Metternich[1]. Cette seconde élection me fait grand plaisir. Vous voudrez bien lui faire de belles phrases pour moi. J’allais vous écrire pour savoir si il fallait que j’écrive encore de ma main à l’Électeur. Mandez-moi ce qui vaut mieux.

(Autographe, Archives impériales d’Autriche. Éd. Feuillet de Conches, l. c., I, 555.)

  1. Le comte de Metternich, ministre d’Autriche à Bruxelles, était le père du futur chancelier.